... .de la fatigue
de la terre
et des multiples
coups portés
à sa généreuse
hospitalité
nourricière
TOUT
en résilience
en résilience
qui pour les derniers mots
maux
après le poète
des glossolalies
et
Deguy
à bicyclette
indiquant
sa gène
et son signal
politique
biosociologique
de la manière
dont va...
Passons
vers ce qui
EST
et bien après
TOUT
de la misérable
présence
de la grenouille
de la
fontaine
d'eau de pluie
des prétentions
savantes
et sans pouvoirs
aucun
sur le cours
du
Monde
et de la prise
objective
sur les faits
et drame
où se joue
l'IL Y A
qui
EST
de l'ordre
demeurant
insaisissable
aux innocents
les mains pleines
au paradis
illusoire
du temps donné
histoire
de bonhommes
gonflés
de rien du
TOUT
Dire après
quoi que qui
et main tenir
ce qui déjà
EST
de toujours
ART
mystère
de la puissance
des aimé(es)
autre présence
sans outrage
et sans obligation
depuis
l'éternité
trouvé
d'amour abandonné
alors
L'ART
passe
en devenant
ce que doit
ÊTRE
la vrai vie
au sortir
du magmas
initiatique
TRI
âge
indiciblement
LÀ
qui dicte
qui dicte
imperceptiblement
la direction
de signifiance
par des évènements
résistants
aux désastres
du guerroyant
guerre
croyant croire
que qui quo
pas lui l'autre
de l'histoire
en retour
qui
EST
ATTENTE
en ses ceci cela
de la
VÉRITÉ
chez le peintre
aux gestes inutilement
LÀ
fixé
au centre
lumineux
de la main tenue
hors
( offrande)
en forme inattendue
exaucée
cela arrive
EST
arrivé
alors
la désignation
de
L
ICI
MÊME
D'AILLEURS
MÊME
D'AILLEURS
et bien
c'est l'art
main tenu
d'obéir
prisonnier
imperturbable
Ô
passage
amoureux
ou encor
comment dire
ce qui ne se dit pas
et qui
EST
L'envol
du corps résiduel
de l'enfance
aux sévices
de l'ignorance
de la
vérité
hors le
TOUT
pour le dire
et comment
tenir
retenir
Ô
passage
passage
ce qui
EST
multiplication
du
Ô
euh...
langues de feux
d'amouir
gnose
facétieuse
humaine
trop ou pas
pantoute
après
laura
en benjamin
virtuellement
terminé
ayant traversé
le miroir
aux alloués
de la synthèse
du temps
inconscient retrouvé
en
l'OUBLI
de la
de la
pomme
et le
pourquoi
le mourir en peinture
par la main tenant
ce qui
EST
seras
la lumière
du
coeur
ouvrageant
L'ATTENTE
qui
qui
EST
ce qui se présente
LÀ
ÉTERNEL
et bien parle moué
ÉTERNEL
et bien parle moué
d'une affraire
Qu'est-ce que
L'ART
après
TOUT
faux pas
rire
de
George
de
Debord
de
la rolex
du
Gange
et des criques
à truites
des mirages
du désert
et des mots
pour
le blanc en peinture
des fusillés
Malevitch
Martin
Ryman
enfin... .
et puis
d'eux ceux-ci
et la relatif
venue
Ô
passage
passage
avec
Saïs
et la nuit
blanche
du terrible
qui
EST
sans partage
là
devant derrière
dessus dessous
de tous bords
tous côtés
quoi que qui
de la dépression
de
Vincent
métaphore
du sujet
à créer
de la vivance
qui
EST
l'inutile
pays où se terres
enterrant
la beauté
ce début de
l'effroi
LÀ
OÙ
de la cage
labyrinthe
prison
enfer
Innommable
conscience
du tremblement
de la chair
et des os
sr le
BBQ
dedans dehors
où
insensiblement
ce
je ne sais quoi
de
Jankélévitch
qui
EST
LÀ
en l'indiscernable
même là
quand ça cogne
pour un requiem
inattendu
en la folie
des dedans
justifiant
celle du dehors
ou inversement
là
où
le fou dit
qu'il es préférable
d'être
Nulpart
car trop dangereux
et mortel
d'être
quelque part
à moins d'avoir
un diplôme
une ptite passe
de semblables
en nombre
et en
pouvoir
Alors
Freud
Walser
et tant d'autres allumés
Ô
passage
de la vérité
de la
MORT
au désœuvre
de la mécréation
des fleurs
des oiseaux
des aimé(es)
Vincent
d'Art-Ô
et le lampadaire
du narval
dans la baleine
de
Jaunestonw
du petit pan
du pendu
de
Cézanne
le monde c'est effrayant
et puis
L'ART
de main tenir
dans le feu
des aimé(es)
et
TOUT
ceci ne se dit pas
ne le puis
Ce qui semble le cas
n'est rien
de la
vérité
et si cela
était possible
alors
Dante
Rilke
et encor... .
Le Seul
comme
Kafka
Blanchot
qui sait... .
pas pantoute
avec l'invitation
au voyage
au beau
de l'air
où déjà
quelque chose
des roses
embaumant
le dernier râle
vers
Cocagne
dans le
Titanic
à
Charron
en la vie d'ancres
de
Chine
sur papier de riz
au gré
des vents
( ceci se main tient
en pensé
très désordonné)
qui va
aux sillons
de l'impossible
destruction
du
TOUT
au reste
encor
sans pourquoi
En fait
pour ceci
et seulement
en point
d'appuis
qui se donne
mystérieusement
LÀ
ICI
MÊME
MÊME
d'AILLEURS
Ô
jour l'acte
du sans pourquoi
la main tenant
l'eau qui dort
en sa libre
libérant
le jeu
du
je
en l'en faire
pavé de projets
en cours de déroutes
prisant
l'action
très utile
qui
élimine
la nécessité
des mangeurs de pommes
de routes
et l'incarcération
des tableaux
de chasses
pendus
au regard
aveugles
des plus forts
en qi
et bon pour
ia
fermant boutique
et mise en solde
par
l'universel
prétention
des culs
cézanniens
cucubant
la vérité
bien assise
d'où ça sent
l'action
des héritiers
brigands
la suite grotesque
de ma tu vu
le saint siège
en pleine face
Balthus
sans
l'art-ô
Bazaine
au temps
des derniers
suiveurs
bouclés
par
Staël
et le dernier concert
pour les
aimé(es)
Et bien que reste t-il
de vos
amours
Passage
pour
la fugitive
prétention
de la
Joconde
avec ou sans
les fosses
monnaies
coffrées
de la banque
route
michepain
là où le dos
perd son nom
le
TOUT
est sans problème
c'est
TOUT
et en ce
TOUT
de qui m'aime me suive
IL Y A
la voie
la voie
l'actant
lait noir
des fureurs
et
des viols
d'innocences
Ingérences
du cul i
en bataillon
des guerres mieux
qu'un petit
dessin
après
TOUT
Encre de Chine
crayon acrylique
sur papier