Exposition
'' Boumerang ''
Caryatide
bois de chêne
(Centre Brancusi)
En la Nuit
de toutes les nuits
IL Y A
de la place
en
MASSE
et pour tous
l'ART
n'étant
qu'un espace
infime
de lumière
ICI
en la
MORT
morte
et scelle l'éternelle
et bien
un petit dessin
Assiette
trois gendarmes
et
une marelle
La seule
RÉALITÉ
EST
contre
MORT
alors... .
Chemin
de
TOUT
et de la sentence
ou encor
sortir
juste au moment
où
l'éclaircie
débutait
à faire
comprendre
l'EFFROI
où
Aile
de
Saïs
interpelait
l'ouvert
d'un trait
c'est refermé
la sévère
culpabilité
de l'erreur
symbiotique
d'une impossible
poursuite
d'une joie
en 2 diagonales
échevelées
en une vie
ailleurs
et
pas du
TOUT
serviable
Allant à perte
de vue
Instants
terribles
et paradoxalement
notre
bonheur
Autre
et
pareil
tenant
le vestige
vertigineux
et plein d'audace
ce qui t'à
fait perdre
la question
d'être
perdue
attendant
en jouer
d'éternité
bien averti
du terrible
devant nous
Cassure
de la force
géniale
des contres malheurs
en
TOUT
là
en des rires
quand la
MORT
attrape
à son grée
les rêves
d'enfants
muri(es)
démurés
du murmure
de l'abandon
infini
Socles Et Poussières
... .et continuer
'' ...n'est-ce pas aux animaux
qui montent vers la tuerie?... '' *
en parlant
des files d'attentes
ou qu'importe
ce qui
EST
de la sociologie
et de la pensé
qui coïncide
avec la totalitarisme
de
tyrans
qui ont appris
à manger pour pas cher
la chair
Alors
l'intuition
instruite
par le
JE
bien connu
et terrible
le train train
quand fume dehors
l'air vicié
du
CAMP
qui sait
TOUT
(mais n'y peut
sait rien
fait
TOUT
et l'artiste
qui sait
TOUT
fait
TOUT
mais trop tard
tout est
disparus)
Quelque chose
de posthume
dans cette constatation
sur le réel
et le Réel
et le
RÉEL
Lahire *