Et ce trait d'union
si tant est
Jonas
en l'an de grâce
matinée
avec le temps passé
date
et l'éternité
retrouvée
avec le retour
des aimé(es)
malgré
TOUT
que
l'autre et à mont
des bois parcourus
avec la meute
apaisée
de la ritournelle
et l'union
en et
du ciel et de la terre
en sol sur
la portée
du saccage
que
René
appelait l'ingérence
innommable
ou encor
et du peuple qui manque
enfin
100 mots dire
et moins
de bruissances
par les mots
insaisissablement
sans la vrai pensée
qui va là
ne se disant que pas
pour dire
s'entend
hors
la cage
à maux
des initiés
d'amouir
et tenant ô é
de nos alliances
éternelles
en pas besoin
là
ICI
MÊME
D'AILLEURS
hors les organes
MÊME
D'AILLEURS
hors les organes
du parti
aux hasards
déroutes
Chemin
vers
Nulpart
plein coeur
d'embellie
d'aimer
et en vérité
ce désir du
DÉSIR
qui main tient
la vrai vie
qui est ailleurs
au-delà du principe
de plaisir
qui
EST
la partance
et l'ossature
de l'éternité
Bon soit
et le
TOUT
vu de la
vu de la
Joconde
qui dans tous
ses états
(La peinture
est la fille
de l'esprit
et chose mental )
en plus penser
c'est ne pas se laisser
encombrer
par le mystère
il n'y en à pas
IL Y A
de la beauté
de la beauté
auréolée
du détachement
amoureux
et son prix
dépris
par l'insondable
présence
du devenir
éternel
... .
et des larmes
de la mer
en ses terribles
abandons
des aimé(es)
Et le désert
des pères
esseulés
changés en pierres
de sables
sablier
durci
au passage
des tristes figures
se racontant
des histoires
qui maintiennent
ce qui va devenir
oublie
du plus jamais
et secret bien gardé
par le sourire
insaisissablement
devenu
Joconde
d'atomes crochus
avec
Bouddha
l'art
ayant réalisé
l'union
de l'enfer
et du paradis
(Orient Occident)
réalisant
LA MORT
MORTE
alors
MORTE
alors
ICI
MÊME
D'AILLEURS
MÊME
D'AILLEURS
en point
d'appuis
Ancre de Chine
et crayon
sur papier
Fabriano