Souliers
de Vincent
des neiges
en juin
pour des deux
par deux
à mourir
en des retours
du même
Des greniers
videset des tonnes
écomomiques
de lourdeurs
pour partir
des guerres
des pères
frères gazés
atomisés
et des bouts
d'autoroutes
pour tous
des morts
Noir les trous
sans abri
des chairs
aux flambeaux
criant des signes
à Wall Street
à bout de folie
d'armes
noyés de pétrole
Tableaux noirs
de Rothko
Le dieu technique
et la disparition
des hommes
de paille
en capsules
de père noël
sur Broadway
avec bout du chemin
furie de prières
et d'ainsi soit-il
Un saut de je
qui sait le pas
faisant la marche
d'aurore
sortant des jours
moléculaires
des tyrans
d'embellies
à vitrines
d'or et de fruits
pour damnation
en des morts
de mains rouges
en demain rouge
de De Staël
en flash d'atomes
dans l'oeil
du cyclone
des fins éternels
des derniers
autoportraits
de Picasso.
Axélos*