Un titre
sans circonstance
forcément
un sauve
qui peux
la terre
de qui ou quoi que
petit Tom
pouce vers
le désert
de la survie
d'un vide
s'enterrant
depuis le début
du monde
guidé
par le plus grand
que soi
dit en pensant
que
TOUT
passe aussi
par le voyage
amoureux
de l'Aile
de l'asile
du nid
ramassé
de Vincent
la voie
perçue
du terriblement
fragile
que de vouloir
être
à l'abri
de l'air
du temps
pas jojo
des craches
morts
et sans fin
la misère
verdoyante
d'arrache
langues
ailes
plûmes
chairs brûlées
d'aimer
les songes
envolés
d'êtres
en paquets
de larmes
désespérant
de la
NUIT
sans étoiles
les chandelles
sous le chapeau
l'esprit
bien au chaud
pensant
aux délires
délirant
des outardes
en vue
de l'infini
néant
qui échoit
pour un tant soi peux
l'assourdissant
tapage
et faber
de troubles
Gênantes
présences
sur terre
et d'ailleurs
en sa fin
pertinente
et bonne
à Saint-François
Le grand pic
et les abeilles
à mots
de mains
vers le d'Oeil
où tranquille
ô assiste
tenant lieu
malgré
TOUT
l' AILE
d'ATTENTE
art rive
tient tête
au dernier
maux de la faim
sur l'errance
marchant
de racines
en chants
de signes
''...et parfois
je suis l'arbre ...'' *
à l'herbes
coupées
avec les oiseaux
fait pas pleurer
l'idiot
fait rire
le cerveau
descend de ton arbre
singe à chien
et à oiseaux
de février
et à Vieira
TOUT
petit
petit
petit
là où le silence
se fait
abattre
Rilke *