La fuite en Égypte
ou à nul ne sait où
de l'art
après
TOUT
des mises en saintes
ni touche
du regard
obéissant
sur la portée
indestructible
en
L'ART
d'aimer
petit fil ténu
d'or et de lumière
dessine moué
un mouton
de vagues
balbutiements
en langues de feux
éclairant
la part du passage
( derniers lavis
du peintre)
bien repris par
Malevitch
Ryman
Martin
et la suite sans réel
sur
le démoli
de
Gaspar
et des aimé(es)
en la
NATURE
natures
qu'en reprise
des oeuvres de
la voie
et ses plâtres de paris
ici
même
d'ailleurs
en que
Dieu
absoudre
la dernière fleur
de la rose
trémière
Cela se peut
( laisser venir à moi... .)
par la lumière
très aimée
Ô
passage
antre-nous
qui n'avons pas consentis
au dire du jour
mais promené
le
Ô
mort
de
Nerval
en
Aurélia
poursuivant
la longue liste
des muses
transportant
la saga
de l'effroi
en d'autres
perceptions
émotions de violences
destructions
de derrière un grand homme
vers des vies
formant
ce qui
EST
ess muss ein
pour la paradoxe
opposition
des contraires
au
Conte
de la lumière
des illuminés
vers les îles
Ô
passage
de l'au-delà
de l'histoire
informe
mal informée
déformée
du territoire
d'aimer
(petit mot
très révolutionnaire
et terriblement
transcendant)
gnose
des conquêtes
et de la procréation
des assujetties
du principe
unique
(destruction construction)
Et
de la création
qui
EST
ou pas
qu'importe
ess muss ein... .
en
L'ART
ce fil conducteur
de quelque chose
plutôt que pas
sur l'abyssal
perception
main tenant
le dessin destin
la rose au bois
en de petits indices
chez
Abellio
ou demander à
la
Poune
et ses diversions
spectacles
pour sa bien aimée
en devenir homme
au mix my up
des copies conformes
là quand... .
Bon ect tec cte
de ce côté
sa balbutie
des 2 bords
de la bouche
laissant passer
TOUT
au centre
le souffle divin
de la création
de l'artiste
en illuminé
allumant
le plaisir d'amour
découvrant
sous les beaux draps
de
Beckett
au bout de la nuit
célinienne
le début du terrible
de l'ange
au service de la vérité
en littérature
et en sacrifice
( On est sur terre et c'est sans remède)
Sam
Alors
du côté faites des côtes
d'Adam
d'il était
du beau livre
finissant
avec le dernier
mot
du maux
d'Illuminare
l'image
restaurée
d'après
TOUT
du seul un
dieu
Dieu
en lieu
du début était le
Verbe
de là
Posthume au
0
petite bouffée
d'air
Zweig
comme question
du hazard
et pourquoi dire
pour ne rien
laisser
aux croques-morts
d'ia
le soin de décider
de la
vie-mort
décodé de la tournure
du it
D'AIMER
Néant
untemps
pas
2
et puis
sol'Oeil
noir
sur un vielle
effondrement
de livresque
d'Ulysse
défroqué
du jésuite
et de la prière
mystérieuse
là où
TOUT
est en place
pour l'appel
des feuilles
à l'automne
Quelque chose
échappe
en ce cercle clôt
d'enclos cloné
du multiplié
au
SEUL
un
dieu
Dieu
la grand
TOUT
encor
la belle affraire
savoir
la lumière
triant
l'élévation
sans l'encombrement
des encombrés
du
passage
de la mer rouge
et du lieu
de la révélation
des aimées)
... .reliefs et quelques
reliques
terrestres
antithèse
hors le dire
de lui celui-ci
l'autre
de la cage
aux amusés
du trou
de la grotte
de pris qui croyait
en la jungle
jugulant
la nature
par
NATURE
natures
bombant la ribambelle
estropiées
Bon
allons camarades idées
Dieu
mort
alors imaginons
la suite
en
Godot
en
Socles et Poussières
après
TOUT
de là voir
la fanfaronnade
et les cymbales
du retour
éternel
de qu'est-ce que
L'ART
en l'infini
finissant de finir
sans fin
la mort
perdu
dans les bottes
géant
de la fable
( incorporée in co ia
plus personne
dans le ciel à assoir
sur le trône
de l'univers
foutu du général
Mabuse)
Enfin des mots
toujours
Dalida
Bobby
la
Poune
et les enfants de nanannes
du perd la chaise
au roi endormi
où veille
les six
Ô
sur le bel endormi
chuintant
( la création en acte)
longtemps
après que les poètes
et le fou chantant
rossignol
Abrégeons
le dévidoir
linguistique
soumis à l'apocalypse
Guerne
Cioran
Beckett
et au visuel
la voie
lactée
de la naïve
particule
circonstancielle
des élus
éludés
post-proématique
et ridicule
ratéisme
à leurre où
bouda
le bout de la reprise
du
TOUT
de pas grand chose
après
la petite boîte noircie
du ventre
éventré
du suicide
de la
NATURE
natures
où l'ennuis
mère de
TOUT
et à leurre de la
MORT
mortes
Et bien
en la nature aimée
Ô
sens sensible
des désastres goyesques
des trempolinés
du vieux cerveaux
avant que d'être
où ça sent
ce qu'art-ô
composté
de la cane irlandaise
et du principe
surveillé
de
l'Oeil
du dieu mort
et de son dernier homme
mis en carton
solo séché
du pathique
au temps ayant suspendu
son vol
en l'histoire
du
UN
des uns
de la poule et l'oeuf
déblatérant
de l'homme lait de la louve
romaine
rebelottant
les 3 ptits coeurs après
n'9
leurres
et pas du
TOUT
faux
voir et bien voir
ce que dit
Margaret
en son bois
de sortilège
en la nature
aimée
Ô
passage
des synapses
émerveillés
du quotient de la
nature
après
TOUT
des têtes
écartées
du mal d'aimer
Alors la guerre
yes sir
ou encor
créer
quoi que qui... .
en ce qui est du mode
démodé
de la modification
Butor
sur le rivage
du
TOUT
cerclé
par l'art
d'aimer
Encre de Chine
crayon acrylique
sur papier
2025