Dire de la
MORT
mortes
mortes
collaborant
de là
métamorphose
du sujet
par lui même
seul à seul
maître de rien
du
TOUT
et de toute évidence
sociopathe
et cioranesque
position
de ma tu vu
jouant
Axelos
sous le contrôle
de
Spinoza
ou encor
de la
coïncidence
d'un éclair
au chocolat
et qu'importe
ce qui va se donner
à voir
pour croire
à l'avancée
en arrière
tombant
en flétrissure
d'une fin
infini
en oubli
de sa
FIN
L'enfraire
d'Arthur
Nerval
Artaud
ou encor
( La lumière fit encore
une fois irruption
dans les ténèbres...)
Broch
mais de ceci
où
Alors
C'est joli quand même,
cette petite comédie
avec la poussière '' *
De la naïveté
de
L'ART
qu'est-ce que
qu'est-ce que
peut bien vouloir dire
après
TOUT
de
Watteau
ou du
Douanier
ou encor
Schopenhauer
et Hauser
ou les bottines
heideggériennes
encor
la tête toute faite
de l'esthète
d'innocent
les mains pleines
d'où ça sent
la merdre
ou
Rosset
et le comment vert
de Mr. Crément
Enfin quoi... .
Marelle
et craies du ptit
jésus
au ciel
TOUT
9
9
en bleu bb
ou poudre d'escampettes
t'empestant
que le réel
en sa
MORT
mortes
mortes
et ses bebys
mon cowboy
Ou encor
ce qui passe
avec
Personne
( C'est moi que je peint...)
Montaigne
... .de ce qui
posthume
en os et puis
bâtir
il en resteras rien
quelques néants
immense
affraire
Donc
mante religieuse
céleste
Début du monde
Courbet
là où la chose
n'est pas
Claire
et dérider
en machant de la gomme
faux pas y penser
Partir
de la consumation
NATURE
natures
d'une foire divers
s'y fiant
et bien
avalé par
Ducharme
et les trois mousses d'airs
en temps d vous
le terrible
SILENCE
de la
de la
MORT
le mord au temps
dire que c'est
la fin de l'art
est une tautologie
en fait c'est la
MORT
qui est morte
L'ART
écoutez-voir
écoutez-voir
c'est
TOUT
UN
De là
et ce qui va par
la vérité
postpeinture
sculpture gravure
postart
et dite en proématique
ce qui dans la
MORT
mortes
et ses atours
breloquées
d'applaudissements
d'aux suivants
et l'impuissance
en la grande dévoreuse
et bien
l'indicible
sur la paroi
des guerres mieux
L'ART
à la même main
à la même main
Ô
passage
entre tous les simulacres
de
Rose
la
Poune
et rose c'est la vie
de
Marcelle
Després
au chant de l'alouette
et ses petits pans de murs
où sur ce mur
on croyait voir des roses
et bien
que tous nous veille
absoudre
Et des prunes des poires
et
Daumier
ou encor
l'amour n'à pas d'âge
encor comment est mort
Rembrandt
ou
Vincent
formes de mouches à feux
L'ART
dans les rets
dans les rets
et les impasses
rond sain
des ronrons
du roi
ou celle white
de la voie lactée
de la
Grande-Ourse
celle de
Boileau
en code et codex
pascaliens
et du pétage de bretelles
des chaises hautes
très
darwiniennes
et la seul forme de cancer
in l'univers
Ananart
de la rébellion
des tigres
sur le dos
des puces
des ia
stylés
de la courte paille
à l'échelle
de la lumière
où
chauffe
la formule
alchimique
de l'abat-jour
en pleine nuit
de
Fantin
Latour
parce que les fleurs
c'est la nature
et c'est pas
sans ses
chefs-d 'œuvres
... .sauver la terre et le ciel
et dieu sait quoi
de la tirelire
des maux à mots
blablatant la libouerté
d'en faire du mimétisme
ceronettienne
de la répétition
verbillant
du
Homère
et Bereshit
d'il était
écrit des histoires
mystérieuses
de quelque chose
d'un peuple
pilleur et à veaux d'or
de barbares
et
d'oubli
de si c'est pas lui
en la nuit de toutes les ennuis
ou
TOUT
est gris
est gris
et néant cloaque innommable
suivant le gros
du petit
de la marre aux emplètes
aux wawarons
des faires semblants
que c'est intéressant
L'ART
et la création
du mal infini
et la défenestration
d'halte tu sert
quoi
du
TOUT
est foutu
est foutu
du diable baudelairien
ou encor
le seul un dieu
d'oeil de guerre
enfin
Dieu
de
Spinoza
ou
L'ART
en forme de questions
en forme de questions
dessinant sur la rive
le
SILENCE
des aimé(es)
des aimé(es)
Beckett *