( L'esprit de vengeance )
de
Sollers
ou bien ou bien
tant de temps
devenus
obsolètes
et répugnant
pour ce qui semble
être l'histoire
d'un charrier
le tas de fumisterie
de la
NATURE
natures
en sa capacité
de récapitulation
d'alpha à oméga
et l'inverse
en un malstrom
chaosmatique
bloqué
fixé
en son sort
Sodome
et gars mort
par la décréation
des mécréants
héritiers
de la
MORT
mortes
de lui l'autre etcctetec
un soir divers
sous zéro
Et main tenir
l'ART
en sa création
très virile
le pinceau à la main
pourvoyant
à l'embellie
des aimé(es)
par le tremblement
du coeur
dont prend en
CONTE
la main oeuvrante
en son sortir
des chairs
de
Freund
ou encor
le christ déguisé
entre tous
les peintres
sous l'étiquettes
du spirituel
dans l'être
ou ça sent la muerte
( tableau
de Miró de Manzoni
de Bataille
et de la gang.... .)
à faire chier
les prés bites erres
de la nef des fous
après
TOUT
au reste
des bouts de bois
brûlés après
les pisses
sur le bronze
en verdoyant
les dômes
et là
un monde qui s'écroule
sans que
quoi s'habituant
à scories
de la
MORT
mortes
Alors
Ô
temps du brassage
de la terre et du ciel
de la texture
déniant
la part du temps
dépourvu
du sens des aiguilles
et la direction
que va prendre
le ( je ne conduit pas
je suis conduit)
d'Henri
et l'esprit
de la lettre et non pas
du mot
étouffé en sa gangue
et capté par ia
en fin d'utilité
Techniquement
mis k.o
deleuzien
Alors va s'en dire
et à moins que par un miracle
sous la forme
d'un sans chemin
( proématique )
tenant la flamme
au-dessus
et avec l'aide
des résidus
soufflants
sur l'urgence
qu'à bien vu
l'Oeil
sur l'enjeu
du déni
participant
consentant
suicidaire
à l'apocalypse
humain
vanité
d'inconséquence
sur l'abyssale
langue de bois
des 2 côtés
de la bouche
Alors quoi la trace
et la vrai vie
hors la portée
des épelés
qui insensiblement
trilliards
milliards
de uns
des
UN
après
TOUT
Quête et à la proue
de la vérité
qui se loge
à la conscience
du pourquoi de
L'ART
en main tenant
malgré ce qui se donne
là
en la perte immonde
de la vive mémoire
qui ne peut
en mot se dire
sans qu'aussitôt disparaisse
l'AMOUR
et bien
la vérité
en son attente
se fait seul(e)
là où tombe en volant
l'élection
d'amouir
et avec les aimé(es)
de la perdition
et de l'errance
d'à jamais plus
les stigmates
et les disgrâces
de la prétentions
ART
et sa posture
obligé
des limites
du verbe apostrophé
en sa vérité
qui
EST
l'image
appelant
ces lands
et ses petites fleurs
aux traits prolongés
en signes
de tenir
sans pourquoi
vers
la désobligeance
et l'EFFROI
qui se fait en somme
et
face au terrible
qui avec ou sans
quoi que qui
et déchire
paradoxalement
déni et conscience
en sa lumière
de vérité
dedans dehors
qu'est-ce que
L'ART
chemin faisant
nature
et les aimé(es)
au coeur tremblant
pour un dessin
assigné
à sa quête
sans savoir
ce que sait
la vrai vie
main tenue
à l'écart
des inquisitions
( Artaud et le conseil
de ne pas la suivre)
et la pour suite
malgré
les faits défaits
refaits
sans dire un mot
se donne là
en attendant
sur l'axe
de Friedrich
Munch
Gogh
Staël
en bref
l'apport des maintenances
du sans pourquoi
de la création
d'amouir
qui
EST
et seras la suite
du
CONTE
de l'histoire
pour l'art d'aimer
sur le quai
des rêves
aux milles frayeurs
cela arrive
sans le dire
au secret
d'antre-nous
au passage
d'un indicible
vérité
ART
pour l'art
d'aimer
Chemin infini
là tenant
au possible
mystérieux
perpétuant
son
LÀ
qui sans dire
se dit malgré
TOUT
en son infini
souffrance
des mers et des taires
labourant
de métamorphoses
le brouhaha
des parlures
et des dires
qui ne valent rien
au côté
des agonisants sans mots
créatures
en cries d'inquiétudes
les animaux
pillés
de leurs sacrés
et les enfants
dénaturés
de la nature
Alors
de là
déjà
Ô
de l'obéir
en la poursuite
de la
( chance malchance)
ou encor
Ô
présent à 101 ans
dans la tête de
Françoise
sur le bord de la ressource
du tremblé
des aimé(es)
vers son abandon
désarmé
d'égarement
L'ART
à ceci de vrai
qu'il croule
avec le monde
malgré
TOUT
ce figé
fixé
de la
Dépensé
du sacrifice
des bêtes
au pourquoi de l'art
en tant de criminels
absouts
du modelage
monstrueux
Et bien... .
tenir
Françoise
et dans lcul
la fausse
de bébelles
on ne change pas le monde
et on attend pas
l'ATTENTE
nous attend
et le passage
ne laisse pas
passer le chameau
sans boire
à la jouvence
précisément
LÀ
ou passe
la vrai vie
de
Françoise
Sullivan
Ô
crie
de là
dans les carrosses
de la
BEAUTÉ
où
aile n'à pas
d'indice
prisé
du conseil
des apprentis
sorciers
prisant ceci cela
en toute
vanité
de l'injonction
à l'ordre du jour
en pleine nuit
( ...au fond de ma révolte
contre les forts... .( ) l'horreurs
des tortures infligée aux bêtes... .)
Michel
enfin on en est plus
LÀ
au
TOUT
et bien sur la parois
d'ATTENTE
regarde bien... .
Encre de Chine
acrylique crayon
sur papier
2025