ART
en ses derniers soubresauts
monétaires
et sa fin de crucifixion
aux murs
des muses à musées
De Là
la croix
chez les peintres
en particulier
et les questions
( Sichère Henry
Heidegger )
et le déraisonnable
parcours du monde
vers
( L'époque est dure aux originaux)
et puis
qu'est-ce qu'un vilain
petit canard
après le festif
terminant sa course
sur derrière
cette période
qui va
TOUT
seule à l'exultation
seule à l'exultation
posthume
au perd la chaise
de pas lui l'autre
etc
Alors que pour un peintre
et ses travaux
sur la parois
de la vive mémoire
où
la révolution
était soluble
dans un verre de
Saint-James
à la taverne
du bon pasteur
Alors
pour du texte
enluminant
les enluminés
de la
Castaflores
des jardins
de Jérôme
au ludens
de Huizinga
ou
Axelos
Mais qu'est-ce que
L'ART
vrai
au passage de la bottine
de
Vincent
ou
virgulant
de lartaux
pour en sortir
de la cage aux anguilles
là où on ne sonne plus
car tout est sonné
par l'envers
du décors
pas celui de Baselitz
celui
de de l'envol
et des mauvais augures
du
Caravage
dont Boileau
médisait
la destruction
de quoi que qui
qui n'était qu'histoire
et pas encor
un
CONTE
et l'art
des sous zéro
n'est pas celui
de qui connaît
connaissant
celui qui à connu
le monsieur de la marre
goût laitte
Alors
écrire
pour rien
de très quelques choses
plutôt
des dégoulinures
cézanniens
et passées dates
pas d'histoire
qu'un conte
en suspend
et qui sert un petit
dessin
pas pantoute
A Saïs
... . oublier les choses
que l'on voit
visible visible
qui n'est qu'être
LÀ
tantôt dans l'actelier
tantôt dans l'actelier
la persistance
en force majeur
avec les aimé(es)
jusqu'au dernier
mouvement des lèvres
pour lui dire
que je l'aime
ACTELIER
Jeu
vivre c'est créer
et de venir
ce devenir
devenant
le devenu
et s'en extirper
en actelier
quelques fois en duo
trio et milles milliards
de trous de piques
ou encor
s'imbiber
l'éponge
et mettre du feu
dans le foyer
de nos vielles maisons
Millard
ou une balade
dans des forêts
en peu de mot
ou pas du
TOUT
c'est à dire
régurgitation
de la tête
toute faite
Mais après
ce fut la fête
des jouvences
et
Renée et Zède
en dernier lieu
Toujours le même
problème
comment terminer
ce
nothing to do
voilà
Encre de Chine
crayon acrylique
sur papier
Fabriano
20025
Et du monde
en sa poursuite
sans fin
et disparue
du chant
dantesque
et insensiblement
infini
devant le vent
de l'emporte
quoi que
IL Y A
ni ni my ni mot
ni ni my ni mot
ô
dire
de la duchesse séchée
sur la corde
raide
en ses haut dire
sous
le poche
de messieurs
cul-de-sac
de
Douglas
(...je ne suis ni savant
ni ignorant.
J'ai connu des joies... .)
Blanchot
et les lectures
pour composter
le
TOUT
pour l'image
pour l'image
main tenant
la vrai vie
pas la vie
que survie
alzheimer
émondé
en son grain
de sénevé
pour un sandwich
au ballonné
que Léo aimait
sans salades