Chemin qui mène
nulle part
en temps de point
centre
sur et certain
en un égarement
déshabitué
de l'habitat
Alors après
la cité
en son
TOUT
d'errance
d'errance
voici
le
UN
des uns
mais qu'en est-il
et le
TRI
qui se fait là
qui se fait là
imperceptiblement
actif
et dit en langue
inaudible
pour les triés
de l'immédiat
éternel
Et bien
montre... .
... .et les chéri(es)
ces complices
Ô
passage
qui s'efface
devient d'infimes
devient d'infimes
dispersions
dans le coeur
des aimé(es)
par le malêtre
de la prédation
du donné
et ses malicieuses
entourloupes
en de déficientes
perceptions
d'écrivailleurs
sur l'histoire
coincée
d'accointances
avec le gros malin
d'à côté
de la mitraille
contre la fragile
vérité
de la lutte
pour main tenir
l'esprit
au bon endroit
c'est à dire
hors la portée
de l'ennuis
où
crève et disparait
la vrai vie
visible
visible
et dévorer
par la frankensteinisation
du monde
et son anthropophagie
exponentielle
et
( La plus grande folie
que puisse faire
un homme en cette vie,
est de se laisser mourir...)
Cervantes
et
des chairs tremblantes
par ce mourir... .
Inconcevable
cet autre
à moins d'un devenir
animal
l'autre du même
en soi
que va s'arrimer
par l'image
là
interceptant
les différences
pour un souffrir
ensemble
Que reste t-il
du
TOUT
qui n'est pas
qui n'est pas
ou qui est
de ce qui ne peut-être
que
l'aimé(e)
au devenir
LÀ
ICI
MÊME
D'AILLEURS
séquence
ICI
MÊME
D'AILLEURS
séquence
de l'éternel
amour
qui des amours
est celui
des retrouvailles
avec le temps
du soi
se diffusant infiniment
LÀ
Alors là quand
ou mieux
le liant
petit dessin cueillant
le savoir
hors verbe
et redonnant droit
à la
mémoire
immémoriale
du jour
Là
où
mais exactement
après
TOUT
avec ou sans
avec ou sans
le jeu
du
Monde
et puis dans les vaps
les us devenus
les redevances
aux dettes
de cette mise en état
de payer
quoi... .
le droit que d'en découdre
avec la paye
de l'ennuis
schopenhauerienne
ou
encor
et tant de diversions
pour ne pas
être pour de vrai
Ô
passage
passage
en l'oeil
solaire
de la
BEAUTÉ
voyant le feu
voyant le feu
aux intensités
variables
et nécessaires
obéissances
au-delà
de la petite mort
et des connaissances
subjectives
de la science
et des habitudes
manipulées
manies
de la main
au vital
de l'être
pour sortir de l'en faire
des distractions
diversions
à la vérité
de créer de la joie
d'amouir
et de la célébration
anxieuse
réalisée
d'avoir été
où d'où vers où
se situe
la
MORT
absorbée
absorbée
par l'amour réalisé
Pas besoin
et si pourtant
mais bien trié
et bien vu
VOIR
hors les milles
et un prétextes
pour ne pas
se situer
en chemin de la vrai vie
au regard
non pas de la traversée
du miroir
ou de la sortie
hors de
TOUT
doute
doute
Réalité
des faits défaits
par
l'ART
chez
Proust
Joyce
Beckett
Artaud
ou encore
Schopenhauer
et le gang
à peut-on
dire ce qu'est la vrai vie
une fois pour toute
et sans rire
avec
George
Rosset
ou Deleuze
et les autres
de la fin
qui n'en finit
pas de finir
d'être ce qui
EST
à chacun sa part
de vivance
aux choix qui échoit
par la lumière
dedans dehors
le contrôle
de dieu sait quoi
Là
le religieux
là le politique
là
la poésie
et les malheurs de
Sophie
philosophant
dans la tête des hommes
le jeux
d'ange heureux
ô
temps d'aimer
laissant là
la grande manipulation
de la suite
du temps
de vivre et de mourir
pour la quête du sens
en l'insensé
se jouant
du faire semblant
sur la scène
des mises bas
NATURE
natures
natures
liées
littérairement
aux droits d'auteurs
épelés
de l'histoire
en trame d'affraire
sous le seul'oeil
de la marche en dire
des notions
de mortvie
données et à facturer
pour le
CONTE
après
après
TOUT
ia
ia
plus grand chose
restant pour en finir
avec le jugement
de
Dieu
Alors
pour le corps
absout du verbe
et à de meurt
sans fin
UN
des uns
en disparition
insensible
cendres et poussières
de prétentions
croyant croire
réaliser
l'histoire
cherchant la route
( chercher route)
pendant
que se crée
l'IL Y A
Le main tient
du nous 2
antre-aimé
Ô
sévère
passage
attenant
à la vérité
sous
l'Axe-d'Abraham
ou encor
l'image
retenant
l'AMOUR
où
où
il se doit
de la dette
envers les aimé(es)
hors la saisie
de lui pas celui-ci
l'autre
LÀ
OÙ
EST
OÙ
EST
le certain
sourire
au
s'Oeil
de la nature
aimée
pour ce qu'elle
EST
divine et atroce
donnant à
voir
ce qui de l'approche
fragile
et tout en disparition
c'est main tenu
lumière
sur les maux
dedans dehors
là où
LÀ OÙ
un drôle
de poème
sortie
de sa rhétorique
ennuyeuse
par trop
d'assurance
et de gargarismes
lettrés
encapsulés
en sa fin de non recevoir
et comme jamais
la perte
par le champ
et les terres ravagées
d'observations
( malheur où croit le désert)
et les crises de la culture
et puis de sa mort
hégélienne
et la perte de son aura
du il n'y à plus rien
enferré
de régression
monnayée
de zéro ni mot
ICI
en miroir
très ordinaire
et en quête
d'une émotion
ancrée
dans le regard
émerveillé
d'innocence
vis à vis
la mémoire responsable
du jour
des aimé(es)