De l'oubli
pas lieu
d'histoire
et si fragile
par la
MORT
mortes
mortes
en ses maintenances
apostrophées
du pragmatique
écuelle
à la révolution
dedans dehors
chamboulement
en bulle
du même
UN
des uns
Là lui l'autre
pas celui-ci
avec les gros les ptits
dans la matrice
finissant en ia
des enfants
de la chair des hommes
en compostation
tragique
des faits cosmiques
univers
Hazard chance
malchance
ou quoi qui... .
Et l'esthétique
dans ce fatras
chaostitique
d'historique reprise
éternel retour
du même
au sévices
en pleine clarté
où la pensée
à terminée
sa course et reléguer
le
TOUT
à la technique
insensiblement
éradiquant
imperceptiblement
les chairs et les os
de leurs émotions
assujettis
au programme
NATURE
natures
en son innommable
indétermination
néantisée
Alors
le religieux
pour la nature divine
( ismes)
et schismatique
perdition
en limbique
fixé d'attente
en la bougeotte
des girouettes
ayant perdus toutes
raisons
après
la mort de l'art
( fuite de l'esprit)
désir de création
ouvrant
l'émotion
à la douleur
d'un autre
Ce qui ferme
le temps nécrose
la beauté
et toutes perceptions
sensibles
où s'était construit
la participation
au vivant
Les faits
devenus indéfendables
biffés
et totalement ignorés
par quel lui l'autre
pas celui-ci
et bien ou se trouve
la vérité
en ce post-babélique
évanouissement
Qui mène la barque
Méduse
Charron
ou
Personne
encor le plus grand que soi
de là
ART
main tenant
le très peu
d'agrippé à l'abysse
et à l'effroi
de la disparition
des aimé(es)
racines
d'être ou pas être
de
Shakespeare
à la
Poune
en passant par la
Lorraine
ou encor
en fin d'histoire
qui n'en finiras pas
de finir
DISPARITION
du nid
et de ses locataires
à moins qu'un
petit dessin
l'espace de la traversée
main tienne
la leurs
en tant de réalité
( Le blanc sonne
comme un silence,
un rien avant tout
commencement )
Kandinsky
Martin
Ryman
Ô
zéro
00000
après
TOUT
et faire des signes
connus maltraités
et bien
on verras
mais ce qui conte
c'est
l'ensemble
tenant
encor
malgré
TOUT
tête
au génie
devenu dieu
et se prenant
pour quelqu'un
d'autre
devant un tableau
de
Friedrich
ou de
M.Millard
rendre
visible le visible
au passage
des aimé(es)
de
l'ART
compris
pour en sortir du sort
et des sortilèges
du piéger
d'où où vers où
verrous
de là
le donné
hors le ressentimentale
contre les limbes
et la grisailles
de l'embarquement
pour se taire
et reprendre le combat
perdu d'avance
contre le nombre
et la loi
cruelle des métamorphoses
infinies
et des mots qui n'osent
pas guérir
ne sont que balivernent
et gargarismes
de prétentions
roucoulants
des leçons
en quête d'applaudissements
hors l'enfer est pavé
de ce genres d'intentions
en
TOUT
de tout toutous
ça passeras
et ce qui resteras
de Lascaux
à
Lascall
'' Les ignorants
et le vulgaire
sont bien heureux.
Tout est pour eux
carrément arrangé
dans la nature.
Ils comprennent tout
ce qui est,
par la raison que cela est. '' *
Alors
allons danser
avec ce
tous
du monde
étincelle
et l'éternité
des lucioles
sous les milliers milliards
de
soleils
et allons autant emporte
le vent
devant tenir
malgré
TOUT
en sa nuit en plein jour
'' L'homme recommence
toujours tout,
même dans sa propre vie '' *
et là ia
va pouvoir créer
à sa guise
ce qu'elle voudras
et pour peux de survivants
deux... 1
lequel... .
Mots arts
à l'appel
de son père inconnu
au coeur d'acier
pour
Personne
de Celan
après
TOUT
du
CAMP
derrière
où brûle
l'innommable
sur des bêtes
aux cries inaudibles
en d'infinis
abysses
et posées là
tremblantes encor
sur les tablettes
de la
MORT
mortes
mortes
Gandhi
(je déteste la vivisection
de toute mon âme)
Enfin
comprendre
qu'en temps
de
DISPARITION
les vivants sans paroles
les vivants sans paroles
et sans défenses
par le consentement
jusqu'aux derniers
d'( Il y en auras d'autres
après nous )
Music
Et de la retenue
d'Axe-d'Abraham
se regardant
pouvant corriger
la proie
de lui l'autre
pas celui-ci
Les sans offrandes
sans abris
ceux qui guérissent
et son maltraités
( Je n'est pas le goût
du châtiment )
Léautaud
ou bien
( Comment faire
pour être
vraiment sincère)
Artaud
La guerre dedans dehors
en son
TOUT
Un combat
arrangé avec le gars des vues
L'animal du terrier
de
Kafka
Delacroix *