Depuis l'oubli
et la faillite
de la mémoire
en temps de la mort
de
Dieu
qui n'énerve plus
Personne
et bien
l'Apocalypse
suit son chemin
va à sa conclusion
et la pensé
eschatologique
lentement
confirme
le jugement dernier
et la fin
heureuse ou malheureuse
de ce que la fin des temps
pour ce qui concerne
la dantesque
affaire
du passage
religieux
au seuil
d'un monde
pulsionnel
étêté
NATURE
natures
là où
L'ART
indique depuis le début
la distance
entre la main qui tue
et celle
qui retient la part
de souffrance
sans contre-don
de la sortie
hors la caducité
de la violence
girardienne
et sans limite
de reconnaissance
pour la prière d'insérer
la vie
en forme d'embellie
( art des pairs sans exceptions)
des mains sur la parois
au mur à murmures
de la main tenant
l'écart
séparant le bien du mal
par l'esprit de
l'Axe-d 'Abraham
de la culture
historique
de la lutte ancestrale
avec la
MORT
pour la maintenir
hors
l'État
de nuire
à la vérité
qui va là
par l'histoire
qui ne fait pas ses frais
alors
qu'en est-il
de la chance ou pas
que d'être
malgré
LA MORT
MORTE
et cette part
MORTE
et cette part
de
l'ART
ou du
Dieu
abandonnant
la
NATURE
natures
natures
en l'innommé
de la grande
DISPARITION
il y a
eu
et là le monde
en sa pulsion
de retour
à l'indifférencié
le même
avant après
TOUT
de la paroi
de vive mémoire
et sa disparition
consumériste
et les cacas démis
de la
résiduelle
histoire
et la zébrure
pour qu'encor
L'ART
Phoenix
après
TOUT
les deux nuages
hégéliens
Alors
pour l'image
et qui de la censure
ou
l'art
virtuellement
benjaminienne
ou encor
y a t-il de la vie
avant la mort
des images?
Et comment sur la paroi
du passage
initiatique
à l'éblouissement
final
du jugement dernier
Qu'on se fout
de fou co
ou du pisse pot
mort d'éternel
après
TOUT
La cruauté
sans le théâtre
et bien le crane des singes
vivant se mange à cuillère
et les cents mrx
de George
crus et dans le mal infini
et le marquis
peut bien
TOUT
en maltraitance
de lui pas celui-ci
l'autre
bien entendu
jusqu'au dernier
combattant par l'épée
sans mémoire
en la
MORT
morte
pulsée par le simulacre
courage
étêté
du lavage de tête
par l'étêté
LA MORT
alors tenir
avalé dans la vallée
de l'avalement
de pas lui
Qu'est-ce que
L'ART
de tuer exutoire
et déviant de la cacadémie
par de petit dessin
tenant lieu
malgré
TOUT
dans l'en faire
croire au pris bébelle
des médaillés
faisant tomber
les grondés de la taire
et ses ressentimenteux
de ma tu vu
passer à la casserole
NATURE
natures
des plus forts
la poche
là où était né déplumé
le futur antérieur
du royaume
des creux
ART
d'aimer
L'AMOUR
plein
des lires
et orques
sur le s'oeil
de la f'oeil
au passage
des petits des grands
et grands petits
une nuit en plein jour
sans m'agrippe
et pipi caca
démies
des ponctions
cultes tue aile
sortant
le révolver
au miroir
gymnopédique
du musicien
et les simulacres
orchestrant
le terrible
en une écriture militaire
échancrée
des idoles
disparus depuis
belle lurette
après
TOUT
Sang sur censuré
de l'extermination
des quelques choses
en chairs et os
simulant
le pas lui
ayant oublié
de respirer
et voir
deux fois
la
DISPARITION
de la tête
de la tête
aux pieds
d'argiles
la présence
d'y a t-il de la vie
sur la terre
ailleurs il y en à
mais pour
ia pas grand chose
dans le ciel
à soir
Bernanos
et les robots
rabotant
de la matières
retournant
à sa casse
et pas qu'un peu
Alors
qu'est-ce que
L'ART
après
TOUT
ses dires de vents
le
Grand
ABANDON
de là et pas ailleurs
art visuel
Encre de Chine
crayon
sur papier