28 août 2024

L'Art Est


... .de ces moments
d'amouir
aimer
 souffrant
de l'âme
des bêtes
au
CAMP
de vie perdue
pour l'étalage
atomique
des bbq
de la fin dernière
alors
L'ART
d'embellir
soit
mais l'en faire
où cries
les chairs
et pleure les corps
maltraités
enfin
( sauver le chat
là où l'atelier
brûle )
et puis avec les poètes
passés
allons dantesque
ni vu ni connu
de la mise en page
de la forme
de la méthode
et de la rime
où les poux
sur les peaux ouvertes
se font
de la grammaire
ouverte
sur la vérité
de
suifs noircis
sur l'étalage
marchandé
du maux en mots
pour le dire
au sillons
rimbaldien
sans le désert
de la gangrène
Alors
où d'où vers où
de la
BEAUTÉ
après 
les épelés
de la
MORT
sous l'art
de la lucidité
qui tombe
en l'abyssal
ne pas savoir
et sans pourquoi
de la misère
sur la paroi
du terrible
 mains d'ocres
et de sangs
d'agonies
de justifications
adaptés
pour mourir
machine
à mouraison
d'attrapés
et bien... .
L'ART
pour ne pas
quoi que qui 
du 
SILENCE
surtout ça
de la marche en dise
pour la phantosmie
d'un séjour
à voir 
du réel arrangé
avec le gars des vues
pour le jeu de guerre
mieux
ceci pour ne rien dire
de la vérité
du passage à piège
de la redondance
comme ici
où l'exultation
se paye au prix
de l'indifférence
de la
NATURE
natures
et contre
L'ART
comme ici
même
d'ailleurs
par l'être là
capté les sévices
de la
MORT
morte
ce réel soit dit
des croyances
des comportements
et des simulacres
baudrillardiennes
ou encor
là un bol de riz
là un étang de
 Rostand
et puis se taire
et se terrer
sous les maux disant 
le silence
de ne pas dire
ou encor
faire de la politique
au détriment
de la proématique
par  l'infestation
du virus 
déguisé en un vide
que la monnaie
porte à croire
au nom de dieu 
sait quoi... .
La Fin
justifie
 les moyens
et les lemmings
les jaunestonwniens
alors
la forme et la déforme
de la désinformation
de la 
DISPARITION
très subtile
subtilisant
le
PASSAGE
vers la vrai vie
se créant
contre mécréants
de la fausserie
subtilisant
le nom de 
l'ART
pour le rassemblement 
des mouches noires
sur le temps
où 
TOUT
est foutu
de Crément
qui à la queue leuleux
seront payés 
par l'aide
à mourir
euthanasiés
pour en finir
avec rien
finissant
en quoi que qui
quo de la douleur
de
Céline
malgré 
Céline
parlant à 
Bébert
de la parodie infernale
d'un voyage
au bout de l'ennuis
d'Éros Et Cyprine
un jour divers
sous le soleil
de sa tant pas
à l'appât
des menés par le 
divertissement
du pain et des jeux
''Je sent tellement
d'amertume
à exister faussement '' *
Et de pour en finir
avec quoi... .



Proématique
la guerre
la fin
apocalyptique
des chemins
pour 
TOUT
dire
des ressentis
du clignotement
d'un blanc de mémoire
d'IL Y A
tenant du terrible
pascalien
et des morts
qui marchent
dit Leclerc
d'avancer en arrière
la poussière
sur le socle
des faires accroires
au choix
de quoi... .
emporté par
LA MORT
morte
en fait qui n'à jamais
que reproduit
 la même
prédation
là et sans pourquoi
de la proématique
plutôt que vous
qui passé sans ma voir
sans même me dire
bonsoir
et évidemment
proématiquement
savant ou sapant
en douce une poétique
bonne pour la linguiste
et la langue dans la vie
aigre
là quand 
freudant 
la mal dit
pour le
TOUT
du tombeau là
où la vie
angoisse
la 
MORT
morte
sous le seul'oeil
qui brille d'attendre
hors du temps
toujours
en pensée
pour les aimé(es)
gaspillé(es)
du leurre
sur la parois
de la
MORT
qui est invincible
car l'ignorance tue
de là
la distance
main tenue
par
L'ART
émettant des signes
à jamais plus
pour qui sait
et qui peut dire

Artô *