Le grand déni
en
TOUT
là quand
la
MORT
morte
métamorphose
le vivant
en chiasme
destiné
à la fin du monde
au bbq
des bêtes caressées
étranglées
et rôties
sous le soleil en feu
des simulacres
festifs
et emmurer
NATURE
natures
Alors
L'ART
en ses joies
mozartiennes
au requiem
de sa sortie
hors la horde
de bruits et fureurs
MORT
morte
alors
Allons
VOIR
Le renversement
prodigue
de l'essentiel
sachant confirmant
que
l'ART
ne pense pas
est pensé
et les traits main tenant
de la présence
divine et mystérieuse
de
L'IL Y A
des signes apparaissent
forment
les éléments
de la conscience
crées la distance
propice
aux émotions
de là
l'AMOUR
et ses composantes
altruistes
et la détection
de souffrances
empathiques
pour et par la mise
en oeuvre
de
l'ÊTRE
le sacré
et les religions
de réconforts
et de promesses
propices
aux dons contre-dons
tribus sociétés
ART
sorciers chamans
grands prêtres
artistes
Des peintres
sculpteurs
et inchangés
depuis la création
en visuelle
de l'art
et les techniques
nouvelles
ses simulacres d'attrapes
ni go et à gogos
modo
dit
Baudelaire
que de la
MORT
simulant
la création
de quelque chose
plutôt que rien
Duchamp moustache
la Joconde
pour en finir
avec les idolâtries
attirant les mouches
à cadavres
dernier festin
de la
MORT
morte
et percute la meute
en farces et attrapes
pour la suite et bien
les monnayeurs
esthétiques
collabos
du
CAMP
de la
MORT
alors... .
emporte la mise au tombeau
La suite est
spectraque.
L'ART
dans tous ses apparaîtres
de meurt
(le sachant et sur le qui vive)
lumineux
main tient
la brèche
ouverte sur la sortie
en
PERSONNE
Ô
mère suspend ton vol
ou encor
la fuite en Égypte
et ses dieux
de composition
mortvie
en rituel
SACRÉ
depuis l'aube
jusqu'au crépuscule
de l'histoire
où va prendre place
LA MORT
morte
et ses soldats
et ses soldats
pour des idées
rusées
de pouvoirs
futiles
que la
MORT
envoûte
en son trou noir
D'où la progression
de son élevage
pour la
MORT
( technique atomique
et festin des condamnés )
UN
des uns
en bout de pisse
de la grade soupe
univers
Et
l'ART
secret sans 100 secrets
EST
en la même
ATTENTE
depuis le début
de la
PERCEPTION
conscience
(d'à chacun sa mort )
de Rilke
ou encor
d'OÙ VERS OÙ
OÙ
OÙ
d'ATTENTE
en '' temps ''
d'ART
ou encor par des histoires
farfelues
de bonhommes sept leurres
de ce dieu plutôt
que l'autre etc
dix versions
NATURE
natures
Alors au début était
la main sur la paroi
le mur le piège
et la sortie
maintenue
par le
GRAND SAVOIR
mystérieux
de
L'ART
à la technique préservée
du
SILEX
arme à larmes
alarmés
de l'offrande
Peuple qui manque
Des mots
TOUT
au fond des bêtes
sacrifiées
aux étalages
de la
MORT
mortes
Rosset questionne
ce réel factice
et le mur
quand la
MORT
empoche
l'échosmomie
de marché
vert compostelle
et puis quoi l'éther nuité
c'est la main créant
de la vraie vie
d'AILLEURS
et
ICI
MÊME
depuis le
MÊME
depuis le
s'Oeil
au
d'Oeil
des chéri(es)
nature
aimée
en f'Oeil
antre-nous
d'AMOUIR
infini
innocent et vide
de
TOUT
Et des cathédrales
anonymes
en symboles
religieux
pour le sens caché
du
VERBE
de A jusqu'à Z
de A jusqu'à Z
triangulé
par
Cézanne
en la nature
comme splendeur
du
DIEU
pour voyant
VOIR
sacré
des larmes
on pense à
Nietzsche
au cheval cravaché
et la folie
althussérienne
inversée
ou encor
et par la suite
Heidegger
du seul un
Dieu
de nature
à transmettre
à la philosophie
un peu de sa source
la sagesse
et l'humilité
gardienne
et protectrice
de
l'AMOUR
par le
VERBE
donné venu de
l'ÉMOTION
de la main à la paroi
du
VOIR