Ce qui de la nuit
là arrive
passé
par un songe
mal rêvé
( ceci débute
et va se précipiter
de cette manière)
et il est certain
que mourir
ne se peut
L'histoire
encerclé
par le
Verbe
et piégé
par la lumière
éclairant par l'esprit
qui va en sculpter
les contour
et donner
ce qui se dit être
la vie
La vie
au souffle
des bêtes dévorants
des bêtes
l'herbe est sous les pieds
et ils ne sont pas
herbivores
Enfin arrive le curé
d'apocalypse
et l'autre
TOUT
en bataille
décryptant
de l'historisation
en temps
et la part maudite
de la conscience
en monde
IL Y A
du dire et du faire
hors le paradis
insignifiant
et absout de
TOUT
et les spéculations
jusqu'à ce jour
devenu spectacle
baudrillardien
et spectraque
debordien
et moléculaires
en cso
de
SOS
pour sauver la terre
par ses prétendants
fourres
TOUT
à l'étalage
capitalo
sacer de dote
de mange ta main
garde l'autre
pour
Cioran
et la gang
aux idées
apocalyptiques
de
Saint-Jean
revue et corps
y git
Fin des temps
à chaque mort
derridienne
ou lévinassienne
en flash
blanchottien
Alors
que la faim
justifie les moyens
et bien
de là
L'ART
va de ce fait
en ralentir les arts d'heures
Créer
comprend fait comprendre
la misère
de la lutte avec le créé
pour obéir
à la loi
entropique
du peu d'espace
figurale
et spatiale
donné
par la main tenant
l'ouvert de la faille
là quand
la
MORT
referme ses entrailles
sur les épelés
mais appelés
par la sortie
exauçant
la sainteté
de l'apôtre
et sa fin de l'histoire
et du monde
et ses visions
spéculant
l'abracadabrante
présence
aux enfers
atomiques
du silex
bunkerisé
du
UN
des uns
exté-nué
et sa
DISPARITION
NATURE
natures
en la nature
et sa création
embourbé
du verbiage
et son éternel retour
en la nuit
des pas.
Enfin
des larmes
et des dépressions
atmosphériques
d'un après l'orgasme
céleste
et la procréation
d'infinis
possibles
Des mots après
TOUT
suite aux grognements
des meneurs
suicidaires
irresponsables
et bouchers
des 2 boues
symbole
d'un contrat
en meute vers l'abysse
ancestral
revanche des bisons
pas ravis
du
TOUT
la nature
à cette mémoire
des corrections
au bon moman
du don
exigeant son offrande
ce que l'art avait réussie
depuis le chaman
sorcier
du premier singe
monté dans l'arbre
du fruit de la vie
devant lui
Alors
ces mots pour l'image
qui survole
vole s'envole
d'amour
le seul mot
qui tienne
malgré
TOUT
et le verbe
en sa fin
post-poésie
après la
proématique
demeure
L'IMAGE
qui va s'extirper
de ce qui
de la tristesse et des larmes
d'ABANDON
autre mot
pour cette apparition
monde et ses composantes
en maux à mots
histoire
dramatique
et désenvoutée
d'à part être
en la prétention
TOUT
animal
masse nue
co-con
caraco
main tenu
en sa durée
par l'art
et ses émotions
devant la grandeur
de
l'EFFROI
en pleine lumière
entre le pas savoir
inexistant
et le sa voir
VOIR
et l'image
ce mensonge
à contre vérité
qui
EST
Est-ce la fin de
L'ART
Le socle à idoles
idée ennuyeuse
et toute nietzschéenne
du surhomme
après
TOUT
et trillé sur le volet
des mots
en somme
monnayé
vers le bunker lunaire
et catastrophé
du trophée
du
UN
des uns
ayant fait sauté
la banqueroute
vers les fuites
du
RIRE
de George
et la sarabande
de Sam
d'en avançant
avec Arthur
et bien
Le monde
catastrophé
EST
et c'est
TOUT
Sculptures
Ô
M
et