5 févr. 2024

Jeu D'Art


Sortir
avec eux
les mises en tableaux
antre-nous
quelque chose
manque
dans le coeur
abandonné
Esprit
qui sait
évaporé
après 
TOUT
ailleurs maintenant
vers où
C'EST
de cela
qu'il s'agit
SEUL
cette réparation
feras
reprendre
la tache abandonnée
des amours
OUI OUI
que de cela
le reste
Léo là emporté
avec
 Pépé
On verras
VOIR
si le ciel
est aussi
bien ferré
que l'assaut sur
le cheval
de Zoran
Mais nous serons loin
des Castafiores
à l'ennuis
de pas lui lui
l'autre
pas je
lui
les autres




ART
cette part de ce que
Malraux
nommait la métamorphose
du fixe du figé
ce qui déprend
de la cage
et cette dégelée
de la mer gelée
en nous
de Kafka
et lui redonne
ses ailes
et au besoin
arrêter
la mouvance
du fleuve
où jamais
la même eau
d'Héraclite
Créer du temps
prendre
l'infime partie
d'infini
non lieu
et créer
le pieux soutenant
la voûte
prenant
à demeure
l'espace
splendide
aux formes
embellies
d'une galbe
ou d'une hanche
ingresse
où une vénus
reproduisant
sans cesse
le
TOUT
en tragique
disparition
par la
MORT
sous toutes ses formes
( ce qui appartient à la mort)
et main tenant
la lumière
Rembrandt
cette vision
des parois
ancestrales
sortie 
dans la nuit
apportant sa lumière
au peuple
qui manque 
dit Klee
ou encor
hors le rang des assassins
Kafka
en la cité
tonnant
du
Paradis
sortie de ses gonds
alors
l'ART



Hommage 
à
Poussin
ou
Vision
d'une érection
d'apocalypse
en temps
de violence
exacerbée
par la retenue
toute théâtrale
de la tragédie
que
d'ÊTRE
Nature
natures
pour la métamorphose
infinie
soupe
sidérale
Cela doit-il être
Beethoven
n'est pas
Mozart
alors
le
JEU
de
L'ART
sévère
le plus grand que soi
dans la cacophonie
chiasmatique
en ordre
technique
et désordre
suicidaire
L'ART
en la demeure
d'errance
en son
Nulpart
ICI
D'AILLEURS



Vénus
revue et corps
y git
après
TOUT
sur marbre
noir de Carrare
Art
par les larmes
en formes
d'embellies
et l'éternel
retour
du même
et 
pour suite
de la
BEAUTÉ
d'AMOUIR
et
symbiose
uni-vers-elle
l'OUVERT
main tenant
la faille
du
JOUR
en
pleine
NUIT