Après
TOUT
lui l'autre
et l'adn
suicidaire
au travail
des métamorphoses
de la
MORT
et l'infini
de quelque chose
qui indicible
ne se dit pas
LA MORT
et
L'ART
est l'arrêt
la fixation
de la vision
sur la mort
au travail
rendu par
la perception
émotion
en
rythmes
formes
et la bibitte
créant
de la création
vivante
qui se pose là
en de la pensée
Donner à
VOIR
donner
à
ÊTRE
Et le reste
et bien
le
TOUT
s'en arrange
et la
MORT
perçoit
ses impôts
et taxe le
TOUT
de l'Apocalypse
L'ART
est lumière
dans l'esprit
de la tétête
et du pire
à la faible possibilité
du tenir
alors
Le festif tire
à sa fin
la place est vide
n'ayez
avec Villon
que
Dieu nous veille
absout
ou
le verbe
et le destin
d'un contre-mort
et de ce côté
les charlatans
du bon dieu
en
TOUT
jaunestonw
et les cieux rougies
de la fin du monde
menée penauds
maîtres
morts
pendus par les pieds
de la tétête
Alors
qu'est-ce que
l'ART
à part d'ensommeiller
le roi
Ubu ou pas
la misère
de
L'ART
du monde
OÙ D'OÙ VERS OÙ
pas lui lui
l'autre
pas à pas
vers
le but ultime
après l'appel
de l'orignal
et ses festins
de bobettes
et la
NATURE
natures
en son pourquoi
de la chose
et la splendeur
de l'essentiel
tenant lieu
hors de
TOUT
doute
de l'oeuvre
de
L'ART
et l'amour
de
L'AMOUR
au passage
Dedans dehors
l'apocalypse
se terre taire
d'à chacun sa mort
en
TOUT
SEULe
et ce seul(e)
tenant par
la vérité
du tenir
en catastrophe
devant
ce qui
LÀ
va disparaître
à jamais
Alors
les fanfaronnades
sexe et nues
sur les plages
de James
à l'entrée du
Christ
à Bruges
ou Albert on the
beach
Après
TOUT
Et
L'ART
de là
va vers
son
NULPART
ICI
MÊME
D'AILLEURS
L'Alloué
temps passant
passé
en
TOUT
piège
ou
retour à la case
du noir infini
et
L'ART
d'ATTENDRE
le mur
et l'effroi
SOI
regardant
LA BEAUTÉ
du
MONDE