29 janv. 2024

Pour Le Conte


... .de la persistance
des mots
au verbe
apocalyptique
et les la définition
qu'en donne
le temps
de tant alloué
pour
VOIR
et la disparition
sociopolitique
des idéologies
Alors
après
TOUT
Qu'est-ce que 
L'ART
en temps de finfinots
dans la caverne
des alités
de la
 MORT
 morte
des écrivailles
de la fin
virtuelle 
de l'histoire
en sa pas
décrépitude
mais racrapoté
du vide
néantisé
d'atomes
faisant la gloriole
des malfrats
pendus
au bout
de la matière
déguisée
en esprit de bottines
bottes
dépités
du sens
insensé
de la richesse
( Céline )
au bout de la nuit
là ou
L'ART
'' Notre voyage à nous
est entièrement
imaginaire '' *
Et bien
la belle et l'affraire
devine qui vient souper
avec Kafka
et la religion
et la droite
extrême 
gauche maladroite
et centré 
sur le nombril
de la kabbalistique
du
PARADIS
farci d'à soir on fait peur
au monde
BOUM
quand le coeur fait
de l'apnée 
du sommeil
enfin
ART
(faire confiance aux hommes
c'est déjà se faire tuer un peu '' *
et cri 
Munch
des boeufs
en peintures
dans les arènes
et l'abattoir
pour tous
en
TOUT
sang-tous 
et des peanuts
au cinéma
debordien
Bon
ART
persistant
en sa 
NUIT
d'aimer
d'où
les couleurs
de l'émotion
au passage
écœuré
des éponges
vinaigrées 
et d'adn disquettés
par l'extinction
du
 sol'Oeil
Et bien
Watteau
le grand voyage
pour se taire
en la
NATURE
natures
coïtant
l'éternité
dans un crachat
les ordres durs
et l'éternité
retrouvé
et la reprise
de la
MORT
morte
terminant
le
TRI
du festin
 terrible
de l'ennuis
de toutes
les nuits
des longs couteaux
Et bien
L'ART
retrouveras
son aura
et le vrai
Benjamin
sa stature
retrouvé
ses reflets fixés
de lumières
hors l'humanité
morte
en la
MORT
À l'harmonium
de l'entrée
en sort
et la sortie
d'on the beach
avec mc2 
de la nouvelle
gnose
et celle de l'enfance
aux mains
imaginant
le bleu du ciel
en bataille
terminant
l'Oeuvre
de 
L'ART
coi 
à l'instant
du grand coït
universel
et la venue
des archanges
de la création
'' Je n'ai
jamais
 pu me tuer moi '' *
Alors
quoi l'éternité
ART
qui meurt
d'être
éternel




Céline *