L'Image
à sa posture
digne
de la
VÉRITÉ
au passage
des douleurs
inattendues
et cruelles
toujours
Lieu
des milles
et une
folies
d'instant
funestes
et incongruités
des désirs
masochistes
et contre
que ma joie
demeure de
Bach
( pourquoi pas)
La musique
larmes
et tristesse
infinie
sur le
PLUS JAMAIS
mon
AMOUR
Paysage
et
Nature
morte
et la terre
reprenant
son droit
à l'incandescente
harmonie
donnée
par son prétendant
à l'élection
de son
AMOUR
éternisé
par le regard
caressant
au passage
laissant
sortir
le
DÉSIR
miroitant
les splendeurs
du
TEMPS
figé par
l'ART
et ses lubies
en
contes
facétieux
en jeu
sachant bien
l'errance
et le déroulement
des cœurs
en déroutes
au
s'Oeil
de la
DISPARITION
LÀ
devant
la colonne
Vendôme
remise d'aplomb
pour le
führer
et sa louve
affamée
d'il y en auras
d'autres
après eux
courbant
courbé
sur le tombe
Ô
de la mort
MORTE
Ô
sortir
du +
que d'en faire
en ce que
L'ART
crée
de ce qui se laisse
prendre
pour le réel
de ce
qui fou le camp
est foutu
ou de ce réel
coincé
coinsant
toute approche
raisonnable
et rend la
Vérité
que
d'ÊTRE
hors d'atteinte
par quoi que ce soit
d'autre
qu'une pièce
en son déterminisme
indicible
et vide de sens
Alors
TOUT
ça
qui par
l'ART
se fait voir
et arrive
et voie en cette
machine matière
à créer et décréer
annihiler
annulant
pour le
Conte
à conter
des contés
escomptant
s'en
cent fois
sans sortir
à bon compte
de la
MORT
et bien repasseront
à la casserole
de
L'ART
qui
EST
comme l'on sait
PAS
SILENCE
pour les mille mots
de
l'IMAGE
encor
en son
SECRET