Il ne s'agit pas
de beauté
il s'agit de visage
devenant
art
c'est à dire
esthétique
les membres
allongés
'' Avec le talent
on fait ce qu'on veut,
avec le génie,
ce qu'on peut '' *
la tête
en
TOUT
ses éclats
des sceptiques
semblables
à la vie
est-elle
soluble
dans le marxisme
ivre
et totalement
démocratique
c'est a dire
fraternité
égalité
liberté
le reste ...et...
cerc'Oeil
à idéologies
variables
et bien
certain
d'assurance
on the stage
Être
ou
Pas
encor préfère
ne
PAS
à reprendre
depuis
le début
Dessin
du lion blanc
fraudé
de son destin
par
Nature
natures
en paradoxes
girardiens
au bout
EST
Nijinski
dansant
la sarabande
de la nef des fous
botchées
du
TOUT
est
FOUTU
soyons heureux
Demeure
le cerveau
chez
Valéry
Goethe
Rilke
et la flame
d'une chandelle
pour suivre
espèce
de quête
éternel
de style
une forme
en sa formation
d'attente
la plongée
du plus
HAUT
pour voler
le plus longtemps
possible
en pensant
à Beckett
qui avait dépassé
le possible
impossible
de
la chose
ART
RIEN
La roue
basse
ornée
de f'Oeil
pour
MARCEL(le)s
et
d'elle
de moi
LA JE
exterminé
d'atroces
ABANDONS
Des signes
mots
ou
des silences
uni-vers
... .
secret
terrestrement
bien gardé
Perdu(es)
d'arrivé
de partir
se départir
de
TOUT
et
LÀ
Et cries
d'arraches
coeurs
COEUR
Pas d'à quoi
bonnisme
et que lâche
néant
RIEN
'' ... .Croûte dure
amicale
aux vents de tempête,
Terre de l'anti-histoire... .'' *
ou encor
le marquis
en
Gabriel
SEULe
En prenant
ceci
sont les corps
d'innocents
avec la moquerie
pas coupable
sans projection
les milliards
d'âmes
gogoliennes
feu de pailles
follets
des mésuses
sur
Titanic
vers Jaunestown
Réminiscences
d'après
TOUT
voyant leurre
qu'il
EST
hors sa
DISPARITION
noyés
des sels
larmés
d'éternuités
un flottement
trouble
d'os
Certain
et voulue
AINSI
Malheur
le désert
croît
prend
TOUT
des mots
le capital
la vie
la
MORT
Nietzsche
de
même
contre lui
l'oubli
l'emporte
par les milles
soleils
de
Vincent
pascaliens
Mais après
de
Guy
il n'y a plus
d'APRÈS
Socles
et
poussières
et
d'AMOUR
qu'en est-il
de ces petits contes
virtuels
ou bien ou bien
sur pépiers
des forêts
Louis René
écrivain
parmi
une foule
de d'autres
en cliques
désamorcée
de pétards trempés
de tremblements
sensibles
aux derniers râles
du mot
sur la rive
des embarquements
pour se taire
Alors
désert
et cendres
jouant
avec l'excrément
de
Nature
natures
Rien ne se perd
rien ne se crée
et la voie y est
de présence
à l'histoire
qui se
CONTE
et verbille
autant en emporte
le
jeu
de lui l'autre
et des citations
à perpets
de la reprise
du
retour éternel
à la folie
de la nef
du
nihil
à la sortie
par l'entrée
de
Saïs
ce nom vers
Novalis
les mots
le monde
et sa fin
en lui-même
Dieu
l'avant
l'après
avec ou sans lui
qu'importe
DEMEURE
LE
VERBE
à partir avec le diable
maux
qui perd et tue
le père
impose
la main
exigeant
l'imposable
histoire
de l'homme
à la triste figure
servant d'aise
l'ômère
des
Joyces
à la joie
mots arts
sienne
le
TOUT
en
bleu
de
CONTE
pour bien
lire
le petit
dessin
d'offrande
antre
des désirs
lumineux
épongeant
la tristesse
des aimé(es)
en larmes
nietzschéennes
au mur
des murmures
animales
Il était
seras
EST
ne peut pas
ne pas
à moins que
la
MORT
inscrite
et à de meurt
elle
Nature
natures
à lieu
par petits dessins
à dessein
de vive
mémoire
au
Conte
du
TOUT
antre-nous
les à peaux vies
d'esprits
Mains à traces
portant l'attraits
au trait prolongeant
le souffle
de l'ART
d'AIMER
et dans
TOUT
les sens
Abellio*