Acrylique
sur toile brute
Marelle
en débauche
par temps
de grésillements
schismes
uni-vers
de la formesque
et de la
main à l'oeuvrage
du tenir
souffle
pour
AILE
l'AMOUIR
et du
noir
merveilleux
des corneilles
au soleil
du seul'oeil
Hollandais
en plein jaune
bâtit
Mystérieux
comment
souvent les mots
arrivent
se présentent
enfin... .
Futur antérieur
et puis après
quel terreur
que de l'horrible
pour
l'ART
sur
TOUT
Tenir attendre
secret
de
l'ART
SECRET?
Impossible
et par milles
avenues
et des chants
d'envoûtantes
célébrations
TENIR
pour
Saïs
antre-nous
multiples
et fécond
métissage
Arrache coeur
chérie tes angoisses
nous les nôtres
ÉTERNELLE
Soi
en
SOIS
jungiens
et des musiques
d'attendrissements
en des pertes de vues
où
plus qu'amour
AMOUIR
ce vide
d'étranglement
en triste
EFFROI
... .ceci
lui aussi
(milles autres)
Tellement collé
à la réalité
étriqué
des commentateurs
ajoutant
au leurre
d'attrape
TOUT
Dire mais pour
que ça reste
DEMEURE
MEURT
TOUT
et des feuilles
repoussent
anonymes
et
l'OUBLI
pas un choix
Nature
natures
PAS
DIRE
redire
pas non plus
Comment dire
ce qu'on ne peut dire
Ludwig
préfère ne pas
en langues
coupées
du
SILENCE
des maux
de tortures
en vacarmes de mots
vomis
étouffés
de ont dit
de silences
d'ABANDON
au mot à maux
DE LÀ
OÙ
le
SILENCE
craque
de cries
silencieux
Alors
TOUT
ne tenait qu'à
une trahison
ensorcelant
les épelé(es)
et les
GRAVES
ABANDONS
du
PIÈGE
où
l'ART
quelques fois
se faufile
s'échappe
RIRE
Un
pour une avalée
et une digestion
de crise
consciente
ce débattant
tant qu'elle peut
la vrai
VIE
de vivance
l'éternité
la philosophie
s'avale
noir
Noir
NOIR
en ses cries
inaudibles
c'est
TOUT
L'AMOUR
ne tient pas
en ses déguisements
sanguinaires
et le coup
de l'ART
n'y est pas
étant
encor et toujours
au s'Oeil
de la
grotte
d'ATTENTE
à moins qu'amusette
il fraye
avec les bouchers
d'avaleurs
de l'histoire
anthropophagique
yes mon sieur
la grande
bouffe
entre-nous
à
DEMEURE
c'EST
TOUT
ou petit pan de mur
jaune
rouge
bleu
au regard
de main à mains
maintenant
sur les parois
du
MONDE
ce dire
Aussitôt né
aussitôt
prêt à mourir
Et le philosophe
aurait du avancer
que c'était déjà
fait
Il n'il à
que
l'ART
pour s'y tenir
l'instant
d'y mettre la main
et s'y bruler
et pendant
ce temps de lubies
LE SILENCE
INFINI
des morts
se poursuit
pendant la distraction
du quotidien
échomomique
l'état
le pire de tous
les monstres
pantin
de la
MORT
réchauffant au besoin
l'assiette
au beurre
L'ART
que
Bataille
a bien vu
en
UN
des uns
en son cercle
OUVERT
en sa
NUIT
FUNÉRAIRE