L'embarquement
pour se taire
et la terre
si puissante
invincible
en sa création
chaosmique
dévorant ses
célibataires
grabataires
et à ce titre
le
JEU
de la chandelle
enfantin
la tour
et la lumière
sur la farce
menée
par la
MORT
au passage
dianobélisé
du vagir
plutôt que génie
courtisant
O'keeffe
au désert
moléculaires
agriffés
de la croix
Ô
haut fourneaux
du ciel d'enfer
pavanant
sur le boulevard
étincelle
ayant été
à peu près
TOUT
Alors
la père 6 tances
pour le
7
i aime
au
8
en
n'Oeuf
jours
pour ramasser
la vie
d'ANGE
L'envol
tenant
du cadre
de porte
pour en sortir
de la messe
après
le
s'Oeil
où tombe
les pour compte
respirant
l'artifice
de la prise
d'air
proématique
pour qui devine
le bloc
de marbre
scellé
d'office
de lui
le même
épelé
au call de l'orignal
au lac
Vue
des chairs tremblantes
des laissés
moi vivre ce qui m'aide
à vivre
VIVRE
encor
tout ce justifie
parti et juge
sur le dos
du tigre
de
Borges
ET QUE DU
VERBE
pour de la lumière
déconnectée
de la réalité
consumatrice
de
DISPARITION
TOUT
en
Faust
et
d'autres
passe temps
attendant
la
MORT
sentie
d'office
et priant
Dieu
de l'absoudre
dissous
de la promesse
d'à
jamais plus
sans dessin
Ossature
solitaire
en seul
solo
sur la froide
perdition
tremblante
en larmes égarées
du sans
pourquoi
du
COEUR
naïvement
à la
MORT
donné
cassant
celui infini
de
l'ART
en la
VÉRITÉ
d'AMOUR
à titre
d'infini
mémoire
vive
indicible
TREMBLEMENT
des aimé(es)
en reste
la gestapos
de la
MORT
morte
en
imperceptible
DISPARITION
TRAVAIL
de
L'ART
en son royaume
de pacotilles
antre-nous
au gouvernail
de la
TRAGÉDIE
Actelier
Plâtre de Paris
(2008-9)
... et des sans fins
créés
sachant bien
douter
du pire
s'empironnent
au dernier
souffle
retenu
si longuement
que la
résurrection
s'épuise
d'attendre
Donc
laissons
passer
le vent et ses chimères
sans dépendances
à la source
de l'
ART
qui instruit
de la démarche
à suivre
au bout
du
CONTE