'' Cet été le miel
est resté
sur les fleurs ''
Et ton errance
tes questions
devant l'infini
Saïs
Peau aussi
c'est
LÀ
et peu de possible
autant dire
PAS
enfin
TRISTE
LARMES
à
NÉANT
sans pourquoi
LÀ
la fin
du
TOUT
se pose
que déjà
+ jamais
la lumière
Aile à été
il à été
ne serons +
Court
et pleins
de diversions
en de fieffés
rigolos
au festif
des chairs brûlées
et porter
au tube digestif
du compost
univers
En fin
persister
dans le chaos
sensé
ÊTRE
mais est-il
et se peut-il
que la clarté
en pleine nuit
arrive
juste à temps
pour trouver
sa forme et son style
particulier
sans ponctuer
la
VIE
du
VERBE
en ses mots
La vie
en pleine
MORT
et à l'action
de la
Grande
DISPARITION
bien
au-delà
et bien avant
la souffrance
de
Vivance
L'invisible
ma chérie
l'antre-nous
celui de
PERSONNE
comme
Paul
et
du
coeur
maître
in l'impuissance
de la raison
Alors
agir en conséquence
Écrire
et cri
en d'Oeil
sur le s'Oeil
de l'abysse
de l'âme
prenant courage
d'AIMER
En fin
se dérober
de la
Guerre
sociopolitico
pour et vers
la réconciliation
avec
le royaume
dedans
dehors
récréation
d'une tête
par un tour
du désir
obtempérant
à la création
de ce qui porte
au métissage
vers sa joie
Petit dessin
sans savoir
se présentant
à qui de droit
Et
seulement
Vert
et
les chairs
des corps
célestes
en
UN
des uns
ou encor
UN
en
un
sachant
quoi... .
Visant
la mélodie
Monteverdi
ou encor
les cassures
de la fin
'' L'ventr'la mèr',d'pir'
abri la vie humain',point '' **
Ce qui se présent
LÀ
des coeurs cassés
et comment
les doigts
glissent
au gouffre
des traîtres
Alors
la prise de la
MORT
prend
TOUT
PAS NOUS
en
l'ANTRE
Saïs
t'entend
les grondements
de la
NATURE
natures
tu vois... .
exactement
comme
sapience
Bachmann *
Guyotat **