14 juin 2023

Amouir


'' Cet été le miel
 est resté 
sur les fleurs '' 

Et ton errance 
tes questions
devant l'infini
Saïs

Peau aussi
c'est 
et peu de possible
autant dire
PAS
enfin
TRISTE
LARMES
à
NÉANT
sans pourquoi
la fin
du
TOUT
se pose
que déjà
+ jamais
la lumière
Aile à été
il à été
ne serons +
Court
et pleins
 de diversions
en de fieffés
rigolos
au festif
des chairs brûlées
et porter 
au tube digestif
du compost
univers
En fin
persister 
dans le chaos
sensé 
ÊTRE
mais est-il
et se peut-il
que la clarté
en pleine nuit
arrive 
juste à temps
pour trouver 
sa forme et son style
particulier
sans ponctuer
la 
VIE
du 
VERBE
en ses mots



La vie
en pleine 
MORT
et à l'action 
de la 
Grande
DISPARITION
bien
 au-delà
et bien avant
 la souffrance
de
 Vivance



L'invisible
ma chérie
l'antre-nous
celui de
PERSONNE
comme 
Paul
et 
du
 coeur
 maître
in l'impuissance
de la raison
Alors 
agir en conséquence
Écrire
et cri 
en d'Oeil
sur le s'Oeil
de l'abysse
de l'âme
prenant courage
d'AIMER



En fin
se dérober
de la 
Guerre
sociopolitico
pour et vers
la réconciliation
avec 
le royaume
dedans
dehors
récréation
d'une tête
par un tour
du désir
obtempérant 
à la création
de ce qui porte
au métissage
vers sa joie
Petit dessin
sans savoir
se présentant
à qui de droit
Et 
seulement


Vert
et
 les chairs
des corps
célestes
en
UN
des uns
ou encor
UN
en
un
sachant
quoi... .
Visant
 la mélodie
Monteverdi
ou encor
les cassures
de la fin
'' L'ventr'la mèr',d'pir'
abri la vie humain',point '' **
Ce qui se présent 
des coeurs cassés
et comment
les doigts
glissent
au gouffre
des traîtres
Alors
la prise de la
MORT
prend
TOUT
PAS NOUS
en
l'ANTRE
Saïs
t'entend
les grondements
de la
NATURE
natures
tu vois... .
exactement
comme
sapience 



 Bachmann *
Guyotat **