D'une vague
à l'autre qui dit
vague
vaquant
sur le dos du tigre
où tangue
les temps
d'agitations
du beau call
l'orignal
épormyable
et la rose
trémière
de
l'ART
posthumant
un ciel
plein d'étoiles
de mers
veillées
par le don
DÉSIR
donnant
tenant sachant bien
le passage
insensé
du sens à recherché
hors et dedans
la
BEAUTÉ
d'innocence
ICI
en petit dessin
pour le bonheur
d'AMOUR
revu et corps
sans organe
de partis pris
laissant la misère
à la misère
en sa mise errante
'' Il n'y à que
les imbéciles
qui deviennent '' ***
Alors
ce que l'on ne peut
dire
DIRE
peu
un mot
à pas
PEUR
est
déjà
MORT
Ne pas
mais quoi... .
de ces mots
chez
Walser
le concernant
concerne
un con con cerne
aussi
là où le style
n'à en littérature
que l'importance
que je lui donne
Alors
aux faits
Ce qu'elle croyait
invincible
va enlaidir
la prétentieuse
insignifiance
d'avoir
passée outre
à la vrai vie
vivante
d'AILLEURS
ICI
MÊME
pour le reste... .
Pas besoin!
... .
de quoi pour quoi
et vers
OÙ
le je suis-je
vraiment... .
De quoi
parlons nous
et comment dire
vraiment
Vers où vont
tous ces paroles
dans le
VERBE
depuis
le ''tu ne tueras point''
pensant
Levinas
et le pan de l'autre
au
YEUX
de mots
par petit dessin
des fois cela arrive
ARRIVE
TOUS
animaux
rimbaldiens
en des narvals
donnant
l'abondance
affective
du vivant
pas de
naître-vivre-mourir
socle totalitaire
Alors
sortir de l'être
Ici des pensées
éponges
Encore ceci:
'' ...,le monde est un
ensemble
de nourritures ''**
Alors tenant
petit dessin
à dessein
de main tenant
reste à
VOIR
Enfin
bref
Saïs
la vie la mort
vivant
la
MORT
antre-nous
hors... .
et... .
qui sait... .
postboom
ou bien
OÙ
BIEN
qui peut savoir
Dostoïevski *
Levinas **