Spasme

Et qui Mauve

des rouges

de Soutine

encor

de Vincent

sur la lumière

du monde

Là

où

des armes

de voyous

pisse sur

 Lautréamont

( Il n'était pas menteur,

il avouait

qu'il était cruel )

et des mouches

avalaient

des hommes

par des passes temps

diaboliques

et d'en faire

accroire

le contraire

justifiant

si c'est pas lui

c'est lui 

le

même

UN

des uns

déguisé

en présent

évidé

de la gangrène

du désespoir

Posthume

de là

elle ne verras

que la bite

de combat

darwinienne

jusqu'au 

dernier soubresaut

de ce spasme

cruel

'' Infâme

rétiaire '' *

Tenir

tenant

le grabat

métamorphosé

en 

couches

papiers

de haut en bas

et pas très 

l'air raréfié

de ce monde

fait

pour ce qu'il 

est

'' Ce qui est le meilleur

dans le nouveau

est ce qui répond

à un désir ancien '' *

Tenir

SEUL

et vie dans

le pire

qui est sans espoir

Alors

parce que 

la

MORT

toute sociale

sur la

Beauté

du 

Jour

'' La paix

 n'est pas le contraire

de la guerre

mais de la peur '' *

Alors

aimant

plus que 

TOUT

cette terre de femmes

osmose

 ''On pense come

on se heurte'' *

Oui 

tendrement

a la fin

de la clarté

du jour

ébloui

du feu

de la dernière

peau

Sa voir

chaque instant

d'instinct

en pleine

 exploration

terrienne

et c'est

TOUT

les mots

s'amusent

aux émotions

composant

d'idiots

sarcophages

la main

 la Main

sans 

lendemain

sentant

l'odeur

du sang

sans bon sens

de meneurs

à terre tombale

Et les maux

d'histoire

là où des chairs

toutes en  misères

prisonnières

d'un compte

d'échomomie

dantesques

affraires

d'agonies

d'avoir cru

croire

aux points cardinaux

aux étoiles

en formations

polaires

de la température

sur le désastre

corporel

amoureux

de l'univers

alors

s'écrase

la planète

Je

Tenir loin

le lointain

nominal

mais peut-on

puis-je

sans peur

approcher

TOUT

près

ICI

de l'autre bord

en vérité

naïvement

vous aimer

Valéry *

Flaubert *