Distance
écart
de la réalité
a l'oeuvre
nommons ainsi
la mise
à l'épreuve
de la
DISPARITION
continue
des perceptions
éphémères
agrippées
maintenues
fixé
par l'image
imageant
du
RÉEL
effectif
Enfin toujours
pour dire
le
RIEN
qui s'empare
de
TOUT
donne sens
en forme de pommes
chez l'un
et de brumes
chez l'autre
Encor
l'entre-deux
le quotidien
inqualifiable
et conscient
de l'histoire
se changeant
en
Conte
et figurant
l'alphabet
des jours et des nuits
pollinisant
la teneur
politique
de la Beauté
qui pense
hors et avec
dedans dehors
et fait dire
les chapeaux
de Renoir
se promène dans la rue
ou encor
cette digue
contre
ou avec la teneur
des évènements
Toute image
passe par l'oeil
fixant
la proie
et l'ombre
Corps et
Esprit
s'incarnant
en fruits
et légumes
ou
Être ou pas être
encor
mort ou vif
vrai ou faux
encor
illusoire ou réel
Alors et bien
de l'Homme
préhistorique
à ce jour
main tenu
par la multiplication
de prédation
comment
l'ART
va t-il
réagir
à cette injonction
de la
JOIE
lumineuse
de la
VÉRITÉ
qui échoit
à faire
ACTE
de
PRÉSENCE
Ici aucun
concept
est de taille
pour en maintenir
la réalité
qui se fait jour
l'Antre-Nous
les distants
et en
Doute
perpétuant
le Désir
d'AIMER
Percepts émotions
intuitions
en guise
de maintenance
de la
BEAUTÉ
arrangée
Ici luxe calme
et volupté
là l'Effroi
surréaliste
là
tous les ismes
prenant partis
d'être
du
CONTE
jouant
avec la philosophie
des mises
en capture
de l'esprit
du temps
à la proue
du don
de
L'ART
La parole
s'écrit
dessinant
des possiblements
LÀ
virtuels
et fugaces
tout pareil
à l'innommable
univers
infini
de
Pascal
ou
Vincent
ou
encor
ce qu'il en reste
après
TOUT
Silence
et sachant
bien
verrous
d'Attendre
SEUL
antre-nous
les triés
les élues
et sacrifiés
de la
PRÉSENCE
en dessein
d'en moins
donner
à la
MORT
D'Oeil
au S'Oeil
des tombes hauts
d'agonies
des amours
en plus
que
TOUT
et de l'insignifiances
infinis
paradoxales
et
contradictoires
exception faite
de le
RUMEUR
de
L'ART
en 8 percepts
donnés