...sur pépier
c'est
TOUT
dire
dédiant
et
du mot
s'envole
le moment
en tendre
l'autre
qui
déjà
EST
pardi
par à dit
100 ans
de sollicitudes
en vingt maux
sur la feuille
au sable
dérivant
de la faim
au de dents
le noir
criant
sa fin
écrit
sur le sable
PARADIS
Plâtre de Paris
(2017)
Même
mausolée
guidant l'âme
de Gogol
vers...
la
L'indicibilité
de pour
ne pas trop savoir
chemin faisant
reprenant
sans cesse
le pourquoi
du sans
POURQUOI
du
RIEN
comme un point
fixe
d'appuis
vers...
Et il le faut
par...?
(2021)
acrylique
sur papier
Détachement
du
TOUT
par des parcelles
d'à côté
poussières
d'aller
sur...le vers...
Nulpart
en la vallée
des avalés
de
Ducharme
ou encor
la seconde naissance
d'Abellio
et des abeilles
chez Rilke
Écrire
et cris
criant
d'Où?
Et
LÀ
saisi
de l'interminable
OÙ
de l'Apocalypse
la peau câlisse
le pot
aux roses
c'EST
la vie
Mais la MORT
surveille
toujours
et tenir
Nature
Culture
et le pas possible
d'Attendre
la
DISPARITION
qui
EST
en ses
milles atours
Écrire
passe
avec
TOUT
passe-partout
en des croyant
prendre
le labyrinthe
mieux là
où la main
dessine
la vive mémoire
de la vrai
PEUR
et la suite
s'offrant
le JEU
sans
fin
ni commencement
d'être
et c'est tout
...
ÊTRE
sans permission
librement
l'école
de du créant
décréantisé
LÀ
ICI
MÊME
MÊME
en plus
qu'écrit vain
posture
de ce qui doit
donné
et don
d'or
debout l'altération
du fruit des pommes
cézanniennes
en compotes
et autres imprévisibles
sorties de cases
et des technologies
d'enfer-mement
sur le tétête
de mort
de tant de
UN
en somme
et vivance
dans le décadré
du temps
imposé
d'idées guéguerres
mieux
qu'hypothèses
et d'inattendus
encore de hasards
'' L'homme
n'est que
déguisement,
que mensonge
et hypocrisie,
et en soi-même,
et envers les autres''*
Et puis dire
et des faits
défaits
à la manière
comptables
comptant
le conte
du temps mort
de l'enfraire
tyran
par la queue
tout ce qui bouge
écume
et tendre mensonge
quotidien
au mur
Nature
natures
et
LÀ
vraisemblablement
LÀ
ICI
MÊME
Vers
OÙ
verrous
d'Où
TOUT
doux
la lèvre
et les mots
cassant
l'inexistence
quotidienne
au salaire
donné
des maux
métamorphosés
en ennuis
de la répétition
du règne
du
TOUT
de la mort
en
SOMME
Entre piège
et refuge
passe le désir
du désir
à la fin
Ce qui fuit
de la tête
au pied
guerre dedans dehors
tenir
géométrie
de lumière
L'arrêt
du jour
a sa nuit
en tant de
TOUT
invisibilisant
la métamorphose
univers
innommable
abysse
infini
au seuil
passager
des mortels
à la figure
sucré salé
résentimenteur
d'engouffres
et vent
de par être
à la demande
autant qu'en veut
la consumation
express
expirant
le laisser vivre
en
TOUT
en fin
Pascal *