il faudra
bien
VOIR
le reste
pensant à la
Mort
du
sol'Oeil
qui défait le lux
le calme
et la volupté
Et ce temps
disparaissant
phase terminal
l'esprit ayant pris
la fuite
depuis longtemps déjà
la Fin
qui fini là
Enfin
de Conte
Des oiseaux
essoufflés
viendront
sortant
de froides
hécatombes
nucléés de sottises
et les chairs décomposés
pleins de cendres
montrant l'enfer
et la figure
d'extermination
Et qu'est-ce que l'Art
en ces lieux
infernaux de
Vérité
un cri étouffé
agripper
à la falaise
de Guerre Las
noircie
des suifs venus du feu
du centre de la terre
L'Art
RIEN
où
TOUT
et de
LÀ
SEUL
sans uns
portant le souffle
renouvelé
de l'infime
possible
lumineux
en la
BEAUTÉ
retrouvée
d'Amour
avec
l'Amour
conscient
de la pluie
et du ciel bleu
désenvoûté
de la bataille
d'antithèse
et bien au-delà
du pourtour
des choses
en sommes
autant que faire
se peut
détruire
construire
pour
RIEN
du
TOUT
en la ronronnade
partition céleste
du désir
de la chevauchée
de créer
Posture
de pas du
TOUT
en naïveté
d'enfance
blotti
de confiance
joyeuse
et triste
toute en
musique
en vision
donnée
Qu'est-ce que vivre
veux dire
Émile
en l'impossiblement
désenvoûté
en
Vérité
perdu d'ignorance
infini
Insondable
présence
du moment
en des avants
des après
plus qu'Inconnus
Qu'est-ce que
perçoit
l'Art
LÀ
JUSTE LÀ
qui fait...dire
et qu'est-ce encor
que ça veut dire
le
Verbe
la PRÉSENCE
en
Vrai
Et l'Art
jouant
sérieusement
de l'abysse
du Rêve
donnant suite
aux pairs
du
Conte d'Angoisse
désirant
ardemment
la sortie de secours
en
petits dessins
tenant confondu
la main l'âme
vivifié
par la rosée
du mystère
s'effaçant
à vu d'oeil
pour ne plus dire
voir et entendre
en
Sol'Oeil
Qu'est-ce que créer
encor
et en corps