Un vide
imaginez
évidé
du sens
des aiguilles
sur leurre
du nord
Y a toujours
Texier
sur le bord
d'en fin
la palette
le manteau
les yeux
de Miro
bolant
bolé
du garnement
d'allusion
d'en fin
SEUL
et sans baleines
à la résurrections
des mammouths
car c'est d'un
métissage
cosmique
dedans dehors
que grandiose
l'espace
splendide
d'un moment
de détente
échocomique
de l'incontrôlable
progrès
technique
de la grandeur
des particules
sans besoin
de où est le bec
au goulot
de la grenades
et du temps
des cerises
ou dans
l'ouvre boite
de Lanoux
et puis
sans maudire
et au début
l'histoire
avait sa fin
Il était
des animaux
d'oublis
disparus
des parois
du monde
Préparés
par un
thanatopracteur
sans plus
et porté
au feu de
Mars
avril mai
juin juillet
août
septembre
octobre novembre
décembre
365... .
etc tec cet
scripté
d'eschatologie
et de voyages
sans départs
qu'arrivés
vers
la levée des yeux
...'' Quelque chose
se passe,
fût-ce
la nuit
et le silence
du néant '' *
Un singulier pluriel
sans nom
sous l'orage
et en pleine guerritée
des morts
de la perte
aussi du tenir
le corps tremblant
aux dernières
lueurs
pour l'Art
s'entend
de la longue nuit
infinie
entre-nous
qui sait?
De LÀ
d'ICI
d'ICI
t'entend
les amours
de misères
et les porteurs
de souffles
ses passeurs
dantesques
posthumes
toujours
De la naïveté
absolue
et de la bonté
avant toute chose
et la couleur
des rêves
à la proue
de la Vivance
par temps d'effroi
d'abandon
honnies
du monde
Appelés
au front
d'ignorance
darwinienne
froide chiffrée
des gains
de pauvretés
et banque-routes
d'ennuis
jusqu'à l'éteignoir
d'atomes
exaucés
d'innocences
en formes d'offrandes
à la Beauté
paisible
de tes yeux
lumineux
aveuglés
d'Amour
Levinas * (?)