Un Vide
assiste
hors champ
le
tombeau
à sa brèche
là où hurle
le vent
à l'Art
de main mise
à la voile
souveraine
de sa nuit
reboisée
de sa
Disparition
d'il y avait
la poésie
des fins
derrières
le suicide
du père
Christ ou Vincent
et des suites
de la vérité
en peinture
la
Mort
cette appartenance
éternelle
que l'Art
ATTENTE
portant là
maintenant
l'infini
où d'où oeuvre
le verrous
d'éclosion
et sa mise en corps
reprenant
la sapience
au vrai
maintenant
l'entretenu
du retour
au noir
qu'augmente
l'exil
du coeur acharné
à la jouvence
de splendeur
LÀ
OÙ
il y a
Personne
à la promesse
de l'autre
LÀ
cent mots
sans mot
dire
et
malgré
TOUT
à la partance
d'instants
s'augmentant
d'astral
sentiment
de qui sait
peut-être
car sûr ment
de milles et
UN
mensonges
codés
d'adn
figurant
quelque chose
plutôt
que
RIEN
qui vient
se présente
en ce mot
ment
L'en vert augure
le désir
Nature
natures
métamorphoses
d'amours
sans ô fraîche
et l'air
dévorant
des pieds à la tête
l'envol
des résurrections
sans fins
de de de...
voir
la lueur au jeu
grand ou petit
par la
MORT
en part de
naissance
au néant
nommé
Lumière
reprise
à dessein
chaosmique
organisé
en un certain
sens
étang donné
les wawarons
s'écriant
mine de
RIEN
Plus ils comprennent
plus ils prennent
autant léviter
au-dessus
du gouffre
Écrire pour se faire
comprendre
pas pour
être lu
Éternel retour
de la
MORT
la vie
quoi que qui
quo cul
ÊTRE
EST
TOUT
c'
EST
La Demeure
de l'
AMOUR