Des ailes
d'air temps
se mobilisent
semant
des vestiges
rêvés
au départ
d'invectives
d'hommosappants
les trésors
de la langue
françoise
et à l'encontre
du maître
ayant bu l'eau
de ses amis
pour le censurer
s'étant étouffer
avec la soupe
alphabétique
du tant à faire
grimper
dans les rideaux
au cul
une bande
d'imbéciles
assis
sur la misère
des maux
qu'imposent
l'urgence
de la beauté
des mains
à la parois
du monde
régressant
vers l'infini
mortel
pestiféré
darwinien
feuilles
aux vents
'' Chacun cherche
pour plaire
un visage
emprunté. '' *
Encor
de la Grande-Ourse
des saints
des amis
débordant
d'innocences
de bontés
compagnons
inespérés
des enfers
humaines
trop
et de plus
le doigt pour la lune
et au derrière
l'odeur
des levés
'' La vie est une fête'' **
de son sol'oeil
l'élévaction
pas érection
Marcel
enfin
héritier
de vivances
au passage
des petits bonhommes
ancestraux
d'amulettes
pacotilles
de diversions
tranquille
remplie
d'Amour
en fait
madanmé
des jours
racrapotés
de facéties
endiablées
d'ignorances
pleins de diplômes
d'alléluias
que masques
et bergamasques
valse macabre
avec malfrats
d'entourloupes
et l'osselet
joujou
éjaculant
du cadavre
d'a-men
L'espace
du
RIRE
en blouse
blanchie
du palais
d'Éphémère
du peu
de lumière
et si brève
aussi
paisiblement
LÀ
toujours
SEUL
paradisiant
la parodie
loufoque
et vaudevillesque
de William
à l'aube
de Vincent
la voie
chemin faisant
le Conte
trié
à la marche
du Palais
hors lequel
le souffle
de l'AMOUR
meurt
MORT
tu sais!
Boileau *
Jouhandeau **