Main
d'ouvrage
et désœuvrement
d'esprit
lapidaire
désamouraché
de Nature
natures
Alors...
Que peux le vent
qui défait
le silence
des bouches
étouffées
par la mascarade
des jours...
Car il vantait
devant la porte
du poète
sur la pointe
du coeur
à la saignée
du retour
du même
Et des désirs
de chéries
poissons
bariolés
en jeu
de couleurs
tremblées
du délice
Chasseur
ayant traqué
son traque
(pour l'Amour
infini
des âmes
mortes)
de ceci cela
qu'encor
à jenous
pour des misères
d'idées
précipitant
l'ignorance
abasourdie
de la libre
croissance
des cerveaux
infestés
du désir
d'en finir
avec le radeau
de la mésuse
débordante
de bébelles
pestiférées
de la rancune
du jour
Embrasse
embrase
le ciel
de l'infime
possibilité
d'Amouir
tranquille
paisiblement
retrouvé
Pas là
LÀ
tenant
croyant
l'échelle
sans fin
Mirage
d'os
et de poussières
TOUT
a passer
outre
au voyage
de vivance
retirée
d'attente
La nuit
la
Mort
se rappelle
l'erreur
d'avoir
été
le trait
tiré
de la belle
devenue
innommée
innommable
imbroglio
de particules
et ses menteurs
Pas pour
bien sûr
la
MORT
règne
Le désenchantement
de quelque chose
emportant
son enjeu
maomonétaire
à sa case
départ
où
A
Insidieusement
se renverse
l'Esprit
s'abreuvant
au fond
des morts
d'Oublis
aveuglés
du UN
des uns
vers
RIEN