100
pas de malades
sang emprise
sur des chairs
mortes de vivres
à payer
le plein
bancale
congelé
de détritus
lobotomisés
en plaies à vendre
sous la tombée
du fiel
et du cadavres
guerroyant
tranchant
maquillés
d'oublis
de du temps
saisons
amorphes
et sans raisons
qu'anthropophagie
épuisée
du sanguinaire
de la biodiversité
du contrôle
appareillant
vers dieu sait quoi
du don composté
d'affres
carnages
destructions
massives
synchronisées
en UN
TOUT
pour Jones
ou encor
Alibaba
de Panza
des frères
soeurs
de facétieux
Mussolini
Descartes
discarte
Trotski
Monica
Freud
etc cte etc
de comptes
consummationnelles
histoire de rires
de larmes
entre folleries
d'infantes défaits
par les faits
de madame chose
et d'autres
maladies
en suicide
collectifs
hypothéqués
dès le début
de la fin
TOUT
au début
le cul à la fin
la culbute
et c'est
TOUT
Le cercle est partouze
et la cire con
fait rance
Nulpart
et qu'importe
exporte
quoi que qui
tous
quo culs
en fin
l'érection
batailliennes
de grotte en grottes
et du grotesque
appétit
darwinien
consummatoire
de
TOUT
en
exception faite
du
(cache ton dieu)
de Valéry
Et puis oust
'' Rose Rouge '' *
...Oui
et d'encor
d'où
pardi
le Paradis
des mots
pour
SEUL
lui le même
un des uns
visant
pas à pas
tendrement
des larmes
aller
surement
lentement
tout doux
tout doux
doux...
tes lèvres
délivrées
de la haine
du ressentiment
menteur
Mozart
Beethoven
et des maîtres
tant qu'on
veux!
Lavoie 2004 *