l'Art messieurs
dames
ce
Quelque
Chose
sans origine
ni commencement
le plus près
du bon Dieu
qui
EST
le pas dehors
contant
des étoiles
triangulant
les futurs
géomètres
du coeur
émotion
Arrêtant
la catastrophe
univers
en signes
de mains
soufflées
du désir
Chose
vu
bien vu
l'appel
des abysses
à bisons
les râlements
succombant
de frayeurs
bien vu encor
l'élection
l'assomption
hors la horde
du mourir
L'Art
des accroires
déguisés
en faits
en calcul
en érection
élective
Murmure
mur d'animaux
cognés
d'impies
exhalaisons
des fins
marquées
au rouge
des boues
innommées
de l'autre
en et des poussières
ensuite
de tableaux
musés
remplies
d'inutiles
humanités
à cueillir
comme autant
de roses
en temps
de pestilences
vu par l'oeil
réflexif
crachant
du soleil
ouvrant la
BEAUTÉ
sauvage
cosmique
à l'imaginaire
sortie
de
La Vérité
de la
MORT
le temps
du monde
Où et quand
ça avance
ce porte
à terme
Le Dieu
ébranlé
de son socle
chancelle
de Oui Non
après le politique
la fin des idéologies
la lueur
ténébreuse
forte
en ses lois
de Nature
natures
LÀ
où la fin
de la cueillette
du jour
expire
Combien?
Du UN
lui le même
sa stèle
infâme
et spectrale
Alors
ABSENCE
et
Dix
et 2
chez Vinci
et
Proust
Joyce
Artaud
Tarkos
et des os
et cendres
Ô Si Ô
Attente
chemin
vers
Nulpart
L'ICI
Profane
pour un tableau
à tenir
tête
aux milles milliards
de possibles
n'arrivant
qu'une fois
nommés
entre les doigts
De la faille
postulant
les entrailles
bénies
en chapelet
d'îles
Watteau
et Gilles
and co
d'havres de paix
pour Michaux
en ses bruissements
en miens
d'acrapottements
sachant
le LIEU
pour
Attente
sans lavement
de mains
où sont mes amis
retrouvés
en
TOUT