...sur le brin
d'herbe
du coeur
toute la vie
c'est à dire
cela
le sifflement
du vent
dans le temps
cassé
d'ennuis
du diable
qui va danser
de gras
autour de l'os
Cela plutôt
qu'hier
l'amour
qui crispait
le désir
d'éternité
Qu'est-ce qu'elle
à figer
en sa destinée
corrompue
l'âmouirs
Tout détruire
Nature
natures
des grandes boues
de poissons
laqués
et flasques
L'huitre
et les bites
monnayés
déniant
le feu
des veines
rompues
d'ennuis
Pas de lumière
en ce lieu
D'autres
partout
en conseilles
débandent
le flicflac
du va et vient
d'en faire
Du bonheur
d'heures
si lointaines
où que ma joie
demeure
pas d'espoir
du côté
des faits
La poésie
proématique
tenant lieu
du faire
front!
Des visages
(tout est visage)
disent les amérindiens
et Lévinas
et Dieu
l'Autre
Ça se pense
l'Infini
transgression
( l'autre c'est l'invisible)
dit Lévinas
en fin
d'oeil en deuil
au seuil
de
l'ÊTRE
Dieu ou pas
Pas Dieu
ou?
RIEN
et des poussières
pour être
quoi?
Librement
en doute
de qui?
Proématique
et des miettes
du Camp
des camps
...
Chose
LÀ
et pas
AILLEURS
ICI
MÊME
lapidé
lapidant
avalé
avalant
Et
de pour
ceci
cela
ou encor
sachant
excursus
en
MÉMOIRE
d'EST
( rien au monde
de certain)
Descartes
La Mort
Le Temps
le MILIEU
(entre Dieu et le néant)
Descartes
et Nietzsche
Lévinas
en avançant
mangeant
l'argent
de Geronimo
et Palais
de Cristal
où s'éteint
la Lumière
Tout dire
ne rien dire
Et en
TOUT
est égal
au bal
du jeu
où domine
les règles
comprises
et accepter
d'être
ou pas
ceci ou cela
et BIEN
c'est
Ça
ce qui se présente
LÀ
à prendre
ou à laisser
Devenir
machine
insensiblement
sans penser
à quoi que ce soit
que des Faits
en
Sommes.
Produits
au besoin
tyrannique
du grand
UN
monde
UN
cache
transformatoire
changeant
le sujet
ancien
par le nouveau
assassiné
imperceptiblement
consentant
devenu
sans savoir
l'incontrôlé
du moi
je ne pense
plus
donc...
ou encor
je pense
ce que je crois
penser
pense penser
alors qu'on me pense
pensant
être ce que je pense
et sans fin
pour le
UN
dès l'arrivée
où d'où vers où
?