Des mains
à créer
des états
apolitiques
de silences
juste un peu
avant
la traversée
du Parc Camp
et ses milles
menteries
de ruses
et de survies...
Tantôt
au
VRAI
des canailles
d'où était
la mort noire
en son sang
de calice
d'os
de cendres
d'en
FIN
TOUJOURS
vert la plaine
et forêt
du poème
univers
amis
de tendres
coeurs
aimés
Accourant
à vous
cendré
de rives
fébriles
et vos droits
récités
les menottes
aux synapses
du quotidien
Musique
lapidé
la soupe
renversée
a la
une des faits
le banal
hors la vrai vie
et sans
commentaires
Et des peintres
metteurs en scènes
de contes
où penche
le monde
pour en finir
avec le juge
qui ment au cul
des exilés
de la trappe
à mort
de vie
A la vivre
monétairement
hypothéqué
des sommes
et du sommet
pour des cries
époumonés
du désir
germinal
de lumière
pas d'ajout
de ressentiments
au bûcher
des misères
LÀ et ces chants
de vents froids
trompettes
aux tympans
sur une terre
brisée
de trop d'ignorances
de désespoirs
inaudibles
fétus
perdus
accablés
du mourir
savants culbutant
devant l'inaccessible
bruit des maux
à mot dire
quoi l'antithèse
Tu parle si aile
est mignonne
et lui pour qui...
'' La vérité
si obscurcie..
....( .
,... a eeeee
t'embrasse.