En vain
des morts
ce n'était
que conte
poétique
Dieu
du verbe
au doigt à l'oeil
des croix
et des souffrances
des restes écrapoutis
du rêves
sur la plage
lumineuse
de l'ennuis
En somme
cadavres
au fond
d'un trou
Ruines imaginaires
de choses
exterminées
de disparitions
Verbomoteur
monde
être
Délit de suite
ce vide
libre
de ciel
expurgé
du diable
monétarien
d'illusion
des faims
émotives
du corps
dansant
pour des prunes
d'alcools
Slivovitz
perdus
en cul-de-sac
illuminant
l'espace
de son immense
et insensé
désordre
En FIN
Dieu
cette affaire
à dire
toujours
Larvaires
l'Art vert
vers
à tuer
d'aussitôt
la forme
s'enfuie
Si peu
ce
RIEN
échappant
LÀ
exactement
aux captations
du moment
FORT
et ainsi Dieu
va la cruche
à l'eau
cueille
transparent
l'esprit
du bien et du mal
en vain
UN
Vain Art
point d'appuis
avec ou sans
Silence
bruissances
d'entre ligne
passe
Toujours
insensiblement
obéit
va sait
sa MORT
LÀ
ICI
Belle
d'Amour
compassion
hors
le magma
des scories
résiduelles
de Création
c'EST
TOUT
En fait
UN
RIEN
de
SILENCE
Et cela tient
fait être
ce qui
EST