Unanimement
raison
de moins en moins
avançant
vers où ça
dégringole
et les restes
de la fumées
sur tout ce vaudeville
bricolé
de par la rigolade
du suivant
des suiveux
en troupe
agrippés
du bonnet
en dessous
la télé
affalée
au coût
du courant
virtuellement
pendue
et imprévisiblement
débranché
par le maître
des molécules
Seulement
qu'adviendra
t-il du temps
dépris
de sa fixation
depuis
le commencement
du monde?
Après enfin
tu voie
dépendant
de ce qui liait
la racine
des choses
Et bien
tout est foutue
soyons
fier et fixé
devant le peloton
d'exécution
La mémoire
oubliant l'oubli
à oubliée
le retour
dramatique
du call de l'orignal
en période de rut
pour l'objet du désir
le même
carrousel
des corps
envolés
pour l'idée
de la mise
à table
de la Nature
natures
et sa durée temporaire
pour quelques
dessins tableaux
sculptures
artefacts
et pétroglyphes
évanouies
en milles milliards
de tropiques
d'Atlantides
Vulnérable
vilain petit
cadavre
Fleur
tenant lieu
de lieu
coupée
en pot
de ma cas dames
et du sexisme
au cul
de Roth
ou de madame
mère
de Caraco
ou bien
le mal dit mal fait
d'à quoi que quoi
quo
ou encor
du surhomme
malaxé par Freud
et Althusser
Etc
Loin de moi
qui JE
de travelo
être
en travers
le champs
de patates
de Saint-André
Tu te rappelle
on y à cru
en chemin
Elle maintenant
depuis plus d'un an
dormons
ensemble
sans eux les diables
et les misères
des pattes
en l'air
En cul-de-sac
elle est foutue
nous le savions
dès le début
Des enfants nés
par en arrière
voilà
Peintures couillardes
bad et de tout
ce qu'on vaudras
Mourir avec le pinceau
en forme
d'aspergeur
la toile de l'araignée
attendant
d'en finir
du jamais fini
qui ne finiras jamais
parce qu'on s'aperçoit
pas quand on meurt
et qu'à jamais!!!!
Et que jamais
tu ne sauras
qu'un jour
tu passa par ici
OÙ D'OÙ vers OÙ?
Verrous
RIEN
ou
ce dessin
végétal
artefact
d'embellie
devenu
embolie
Obéir
absolue
aux passages
des évènements
imbéciles
survies
des âmes
captées
par d'infects
marchandises
bébelles
crécerelles
de berceaux
d'enfants morts
nés
au quotidien
d'en attendant
ce qui jamais
ne viendras