Personne
en conte
Célan
Allemagne
et des pareils
Amérique
Neruda
( on peut couper
toutes les fleurs
mais on ne peut
pas arrêter
le printemps)
de ce qui émerveille
pensant
aux éphémères
devant
les grandes fenêtres
jusqu'au sol
du Col
du grand Saint
Bella
Bartok
(Ne me toucher
pas je suis une outre)
Rose de Personne
pas de cela
les bouchers
de la mort
Qu'est-ce que tu crois?
RIRE
De l'autre bord
toujours
ICI MÊME
loin des ragots
d'outrages
passes temps
MORT
ô eau
assis
des marches
l'oeil
savant
d'histoire
à dormir debout
pendant
qu'eux boivent
tripotent
dans les gouffres
et les cris
d'amours
aux vents mauvais
d'épaves
Géricault
Peste
et roses
au festin
des bruines
au quai des brumes
air de la poussières
et des contes
en bouffés
anecdotiques
Un cul
de sac
une mitraille
un bouddhiste
contant Bouddha
en crisse
contre
tant de temps
froid
et mort
De ce côté
de la vie
par hors l'ennuis
de madame chose
son dernier inventaire
un sous
terre
Tenant lieu
d'Amour
et d'os
frais
La lumière
Saïs
Jamais pareil
entre pas qui veux
chez les gymnopédies
répète
l'humeur
des âmes
des vices cachés
beautés
criminelles
à immondices
soignant
le crépusculaire
d'antibiotiques
écomomiques
Soyons
de vérité
long le sacrilège
l'échappée
de l'erreur
cette incompréhensible
par milliards
de prétendants
au Royaume
des éprouvettes
Masquées
du souffle
à mentir
d'abattoir
à chaque
dessins
donnés