25 janv. 2021

Des L'Armes


Des seuls
pluridiluviennes
noyées
des chemins
sans cervelles
pensées en miettes
flocons
de neiges
Tahiti
des christs
en jaunes
En sang
coeurs
moisies
de naissances
Furioso
des souffrances
étouffées
vagues déferlantes
sur rugissant
des gargouilles
 larmiers
des passages
à vides
Beaucoup 
d'épelés 
des roseaux
pliants
Blaise
le corps cassé
des chevaux
L'enfer
abandonné
des poèmes
fatigués
'' Plus chez-soi
dans les lieux
sauvages
que dans les temples '' *
Pourquoi cent
de pourquoi
à télé
Qu'est-ce que tu crois?
Croasse 
Jean
au bord des étangs
à têtes de Papineau 
Corrige pas
laisse tranquille
le bruits
des misères
aller avec le seul'oeil
qui reste
Dire autant que le veux
le mot 
Apprivoise
l'effroi
les peurs
demeure
là 
où là 
la l'erre
aéré
de meurt
aussi
Les portes
au tri 
pas pour tous
seul 
à
SEUL
entre l'espèce
posthume
des  mers rougies
des barbares
innommables 
scélérats
d'étouffés
d'os sans moelles
pillés de cervelles
dès le berceau
à rire
continue
des tonnerres
aux pluies 
verdoyantes
qu'accueille
la proématique
lisière
de l'Attente


Rang donné
du ciel
garni
de gallon
suintant
à contre surréel
pas besoin
en vers 
 de LÀ
Allons
sachant
savant
de toujours
le vol
bien né
des oiseaux
qu'il fallait
passer
malgré d'infâmes
hypocrites
bouches ouvertes
à virulents virus
agrippés
aux dents suceuses
et froides
d'Immortelle
Cadavres exquis
pour proématique
baobabs
palmiers
flottants
des gageures
d'infantiles
 cercueils
Imprévisible
trou noir
de la Mort



Dernières
poussières
des coeurs
endurcies
de mal infini
Maux d'ordres
en mots
foutus
vides
évidés
de l'autre
UN des uns
ayant terminé
sa fin
grammaticale
devenu
Vérité




Nietzsche *