Danse
avec le sens
Penser
quo que qui
de cela quoi
à la face
de mort
(Il la battue
abandonnée
affamée
blessée
jusqu'aux enfers)
Et récupérer
parmi
tant de semblables
laissés là
aussi pour la tortures
et la MORT
de vivre
Tenir
LÀ
où
tout cela
semble
totalitaire
darwinien
comptable
monnayant
la misère
de l'en faire
des affraires
Penser?
LÀ
Et puis
de la crise
CRISE
de quoi?
N'être
que...
toi...
jenous
vous tu
en passant
par les âmes mortes
Enfourchant
par des pièges
à morts
au Camp
de la
Guéguerre
au jour
le jour
en pleine nuit
Là
dans les tranchées
de la belle
dormant
sous la main
de son pourvoyeur
de services
au bois
du feu de son enfer
Des choix
des karmas
destins
de ce qui
EST
Fort
très fort
les cimetières
d'errances
hors
sortir
pas de quoi
sauver
quel mot
qu'est-ce que
tu dit?
Qui parle là?
Et est-ce que
ça parle...
Fait pas chier
Et de la
Solitude
...'' Être seul
comme l'enfant
est seul...'' *
Au début
et en fin
Tenir retenant
l'apeuré
en vrai...
certitudes
fragiles
par la maladie
ce lâché
des trahisons
les peurs
dedans dehors
et des fausses couches
d'apparences
de bauxites
de services
sociaux
soignant
Antonin Artaud
ou Bozo
les culottes
et y en auras d'autres
sur le radeau
de la misère
et de la débâcles
aux bateaux
à nef des fous
Du Beau
du bon
du pas cher
Bref tenir
passer
outre
aux fénéantises
repus
condoms
au jeu de la courte
paille
d'où viens
l'idée
de l'idée
de ce qui après
tout
EST
Pas de cela
qui se dit
ÊTRE
OUI
MAIS
OÙ?
Tu as tué
tu vas l'être
et sans l'art
du dehors
et l'inverse
tu n'à pas
été
Enfin une monnaie
pour un loup
encagé
des rats
et croques morts
à la queues leuleux
chante pleure
d'éros
au jenous
bouffé
de gants graines
semant
du LÀ ICI MÊME
à cet instant
donné
Solo
et des musiques
de temps
en tant
de chemin
de vie
foutue
Inutile
TOUT
EST
passé
Enfin
qu'un souffle
ait été
de la magie
ce corps
pour en apprécié
les possibilités
de Beauté
miracle
oublié
du diable
Ce monde
celui d'un supposé
homme?
Évident
(tu n'est pas
il faut naître)
Ma bonne dame
les mots tripots
de vos maux
Le terrible
s'habitue
à tout
de pire
empire
empironne
La fange
la roulade
dans la mort
la marde
la marre
de la Création
Rilke *