L'L
Tu voie
la rage
du sacrifice
de qui fait
l'ange
fait le diable
D'ici
de Nulpart
et de partout
En fait
nothing to do
des plus
ou moins
du maintient
des traîtres
belliqueux
des natures
Nature
sans sang
tous
de rages
amicales
et mortelles
L'Enfer
d'ignorance
divine
et de lumière
don
éternel
pour les idiots
les égarés...
comment dire
l'indicible
folie
de l'Art
d'imaginer
qu'imaginant
des choses
simples
...
Alors
la souffrance
la
MORT
là où entre
alignés
l'amour
pour l'aile
chérie
des larmes
longtime no see
l'Irlande
en poings
de pommes
pierres
et mousses
au fourneau
où danse les cadavres
de nos histoires
de coeurs
Tenir
l'impossible
main...
Il faudra
bien...
à bout
de...
combien...
casser la peine
de MORT
ou encore
corps
d'Acédie...
Il neige
retour
au désert
des haines
des pestiférés
dantesques
misères
De plus en plus
lourd
la descente
folle
vers l'autre versant
des fuites
Place de l'Étoile
frappée mortellement
l'éclatement
d'univers
Fatal
retour
à la création
des feuilles
mortes
Où d'Où
Courroux?
Jardins
autant que veux
enfin...
pas fort
sur le sanguinaire
sans le sacre
des abeilles
exténuées
des oiseaux
fatigués
ICI L'ENFER
des larmes
bouillies
de sels
d'où le sang
de la terre rougie
des pertes
Nature natures
chérie
aussi
haut si!
Aile
l'ailes
Icare
Et puis
tantôt
sur le chemin
de Saint-Simé
LÀ
à Nulpart
reprenant
l'attente
(hors l'atteinte)
des sirènes
sorcières
et des diaboliques
vétustes
vespasiennes
sans esprit
des goujats
des guerres
au cul
du pied
couronné
de la sainte médisance
des amens
ainsi allons
le ciel abimé
recroquevillé
en vérité
plus amoureux
que jamais
Au des vaines
soupapes
sous la mort
dire
DISPARITION
des mais
saisons
tournevents
Cervantes
en rire de farine
fuyant la prison
des fleurs
titubant
suicidaire
d'instinct
En vrai ne pas savoir
pire
dévoré vivant
par la bite
de la chose
commune
À la porte
tout blanc
épuré
de la rixe
des pas eux
les uns du UN
aux pépins
des fins
dernières