29 août 2020

Enfin...


Pourtant
au jour
nouveau
celui marqué
par la lumière
des 365 
d'un an
 Rythme
envoûté
des mises bas
du monde
la machine
roule
en l'histoire
ses milles
et une chose
+ou-
tragique
en durée
subjective
d'une luciole
fonde
le temps
mouvant
en lui-même 
Brassage
accrochant
au hasard
comme ici
écrivant
croyant
écrire
tentant aussi
de désinscrire
le faux du vrai
à la vitesse
d'un corps
composant
avec l’attraction
terrestre
Passage
dernier
portrait
de peintre
initié
RIEN


...de cela
d'un début
d'une fin
Un conte
en futur
antérieur
encor
un théâtre
rempli
d'Attente
Et vérité
ceci: Il était
avait été
seras...
Seras?
Shakespeare
et des milles
et une nuit
chez Proust
Allons
le temps
est court
et l'Art
est long
Manière
de dire
en mots
un souffle
attrapant
au vol
l'Oeil
pour voir
la lumière
éclairant
l’insaisissable
Machin Mort
Ici tenir
en UN TOUT
du corps
Cela EST
l'espace
d'un RIRE
en somme
Sommé
de cela 
qui EST
Et de cela en corps
ce rôle
l’enrôlement
au VERBE
Que Dieu
nous veille absoute
et la balance
ont fait avec


Vive mémoire
en des tas de faits d'hivers
Et sortir
joyeux et céleste
de l'embourbement
d'embonpoint
époumonant
l'infime survivance
disparaissant
à vue d'Oeil
de cela inventé
par un pauvre diable
dans l'eau bénite
Cet ici
au compost
de sa fin
force l'Art
a prendre
les moyens
du début
d'un cul-de-sac
Les grottes
Courbet
et Dieu
en sa France chérie
Pourtant
que la montagne
est belle
les baigneurs
magnifiés
triangulés
Encor
ce Diable
devenu bon Dieu
des boomerangs
philosophiques
Ici en cela
que (mon univers
n'est pas de ce monde)
aux contrôles
d'une masse
stagnante
pétrifié
en sa malléable
condition
Et bien
Art et cela qui se présente
la grande soupe
à son degrés zéro
de toutes tentatives
de faire 
quelque chose avec 
RIEN

Art avec détruire
art de refaire
avec RIEN
que laisse
dépose
ce qui
EST


Forme de Prière
pour 
l'Art
cela pour Abraham
vers la montée
du Cœur
amoureux
contre
histoire en
queue de serpent
et le post 
Grand Inquisiteur
 du Greco
Allons
passons
soyons heureux
tout est terminé
Tout à été
consumé
Le radeau
d'imaginaire
termine
en l'Air Sacré
l'Art passe lui
à la recréation
du Monde