Point d'Alençon
En château
de la touche
fer dînant
de mots arts
ici ceux-là
là ceux-ci
des chiffres
pipés des morts
la terre et son sang
des corps
Camp
et des enfants cruels
et des femmes fatales
et hommes
et des humains
Enfin
c'est ou cela
ou ceci
Art des maux à mots
antre pas pour tous
Tranchées
maquis de mémoires
En Fin l'Enfer
à porter
de cœurs vaillants
'on ne voit plus rien,
comme une catastrophe
un chaos...' *
'on ne voit plus rien,
comme une catastrophe
un chaos...' *
Attendre tu vois...
c'est LÀ le LIEU
le chez NUL-PART
visible visible
fusion
Élévaction
métissée bariolée
de flèches fissurant
l'air assuré et certain
Car la Beauté
n'est pas
que l'idée
floue brève
insaisissable
LÀ visible visible
s'évanouissant
à la poussière
du dérangement
Alors tout tombe
s'engouffre
c'est l'Enfer
Mais la Beauté
laideur encor
l'Effroi qui commence
amer chez le poète
Beauté CHÉRIE
pas pour tous
et encor inégale
en sa durée
Beauté malgré tout
contre dosage
pour le besoin
de la broderie
des mots à maux
au point d'appuis
Beauté d'AMOUR
de Bacon à la mort
de Jacob souffre misère
des hommes
des 100 mrcx
du passage en grâce
à eux les célestes sacrifiés
Beauté d'Enfer
d'en faire RIEN
c'est LÀ le LIEU
le chez NUL-PART
visible visible
fusion
Élévaction
métissée bariolée
de flèches fissurant
l'air assuré et certain
Car la Beauté
n'est pas
que l'idée
floue brève
insaisissable
LÀ visible visible
s'évanouissant
à la poussière
du dérangement
Alors tout tombe
s'engouffre
c'est l'Enfer
Mais la Beauté
laideur encor
l'Effroi qui commence
amer chez le poète
Beauté CHÉRIE
pas pour tous
et encor inégale
en sa durée
Beauté malgré tout
contre dosage
pour le besoin
de la broderie
des mots à maux
au point d'appuis
Beauté d'AMOUR
de Bacon à la mort
de Jacob souffre misère
des hommes
des 100 mrcx
du passage en grâce
à eux les célestes sacrifiés
Beauté d'Enfer
d'en faire RIEN
Vers le Nord
À dégeler
le sang
des sangsues
des rives
aux cadavres
Saccages
massacres
à fleur
ton mal
au feu du commerce
de faux airs
tombant
à chaque tour
de piste
tes peaux
ratatinent
en froides
nuits qui ton
vues venir
perpétuant
l'assassinat
des jouvences
Ex tes nuées
rendant l'os
aux boyaux
d’échappements
de tes mises
à sacre
Au nord
ta fin s'est gelée
qu'épines
à mourir
sans pétales
consommées
Tenant De Vent
Au diable
de derrière
les ptits
des gentils
griffés montent
au ciel pour être
dévorés
d'ignorance
assassine
Rebuts d'apparences
refait en coussins
gonflés du cœur
autodétruit
des amours vrais
Rare cas abject
de rugissements
sous tutelle
Hier les cages
abandonnées
scellées
barreaux mangés
de rouges séchés
poussières d'aplatis...
au fond des fonds
pour quelques
black days
aux entrailles
de la terre
Visible Visible
D'Un Abîme
À L'Autre
Aux jungles
du Douanier
aux étirements
galants de Delacroix
que de griffes
pour griffes
que de bonnes volontés
pavées par Bacon
et la cohorte
des marcheurs
de suifs des feux
du Camp
où l'habitude perverse
de cracher sur lui le même
UN des uns
déguisé en tout est permis
depuis le début du monde
farces et attrapes
d'infantiles désirs
d'en finir avec le fini
d'avance...
Le clous à taper
des grottes
aux intercontinentaux
du déplacement
des molécules
aux clous sans tête
à force d'y taper
et Disparu
Pas pour tous
les derniers moments
sont pascaliens
dantesques aux derniers
cercles l'air s'est raréfié
le point d'appui dissous
de Tolède le Greco
à fuit les colonnes
du temple écrabouillé
depuis qu'il a repris
son vrai nom Personne
et que l'Art va prendre
enfin la juste mesure
de ce qui à bien pu
faire illusion aussi
terrible...et RIRE
RIEN
Retour à il était
avait été sera
une autre histoire
d'il était une fois une foi
2 trois 4 six 789 oooo0
demain les dieux naîtront
ainsi de suite sans suite
sans suis le suif
du Camp d'avenir
au TRI des cris
wawarons ou war
en rond
pour un champ
des signes
Et se reposer
avec les baigneuses
de Cézanne
triangulées d'insexes
jouissant
de la terre promise
art de faire la joie
du visible
rendu visible
Deleuze *