De Hors
D'Oeuvres
Des étoles
cherchant le i
brillent
par leur absence
Joplin
des boucanes
nerveuses
non...+
Chinchilla
des manges
têtes en mateaux
de la cité
à poil guidoune
sans fusion
Étoiles donc
avec le I
tenant tête au ciel
tombant cauchemar
Albrecht...
Cenci en cul
à sac et à sang
blanchiment
de boniments
alors des tueurs
sur la route
des enfants d'art
sous les sous
de madame
duchesse
de mon derrière
chez-nous
y a la fin over dead
Des sentiers
sans déroute
infinis résidus
d'univers vers
des symbioses
pas pour tous
tas entassés de petits
pets de gaz
carburant proématique
Porte d'en faire
des formes
à tatawinneux
laissés au seuil
kafkaïens
du bonoeil
Danse chérie danse
entre prend le saut
Ô heure venue
LÀ ICI MÊME
tête pas d'eux
les chiffrés
les pas de pas
Alors (Figure
Toi Mon Amour)
dessine ton coeur
à TOUT vent
tient le pieux
dans l'aile
de bourrasque
largue de + haut
encor résiste
à l'an pire
enmieute au lieu
d'enmieuter
prends le RIEN
Y a il y a
y aura
des couleurs
de lignes
bariolées
de formes
à tenter
il y a
ton coeur
limite
d'Amour
Y a ce château
d'Abandon
derrière
les os glacés
de la ruse
ensevelie
ravagée
d'elle même
juge et partie
y a eu suite
à il y a eu
Amour chérie
en IL Y A
des semailles
invisibles
là où il y a
...
de RIEN...
allons
ce quelque chose
mais quoi...
Ceci air a-blanc
des poussières
en socle d'attentes
vents au vol
attrapamour
seul en sol
si do ré
sous tes pas
pépites frileuses
de tes maîtres anciens
'L'art reste misérable
chez un peuple imbécile' *
Le va et vient
radote des choses
divaguant tu passes
le diable croyant
à genoux supplie
d'en mettre d'en remettre
de se mettre encor
la Joconde
moustache ou pas
entre l'étau
le moine pogné
la flye ouverte
prêt à perdre
sa verge au feu
du diable de Gogol
que raconte
ces vagabondages
verbales
Un nez gros orteil
un doigt le manteau
de Matisse
la palette de Woo-Ki
les lunettes
dans la vie d'ange
la poudre d'escampette
Et cri écrit écrire...
où d'où vers où
Verrous...
Comtesse princesse
duchesse...
Un doigt à l'anneau
solaire du divin
maquis tenant
l'affraire au brun
d'un tableau de Miro
de Masson massant
vulgaire la vulve
tout est visage
terre mère mater
or gisant geyser
d'à peu près l'ensemble
du comte d'Orgel
quelques sous
de son filleul
et la démence
s'enflamme brûle
madame mort
l'emporte vers
c'était TOUT
sa fin à elle
Tantôt fixé
créé ou né en
barque on y est
au vent sortant
des masses pas là
agrippées....
humant l'air
sauvage encor
du don qui vient
petite lumière
de Chardin
esprit pris épris
passé outre
aux diableries
De tenant
lasse vaincu
de toujours
mort en autant
de fois
que de un du UN
et lui le qui que quoi
que qui est-ce
après tout
ceci de cela
des dames
de Roberval
régnantes
dans la cuisine
a couteau
d'enfants faisandés
de fait dodo
ou encor
géométrie
résiduelle
de bois de scierie
tranquillisant
l'envie de bon dieu
Oreille écoute
le bruit des feuilles
palpitantes
de l'appel des forêts
de la noirceur
d'ensevelies
sous racines
des mers mortes
rougies des sacrifices
Il y en aura d'autres
des disparus
et des agonisants
pour combien
après le triage
des trois 3 triangles
...Ce que cela porte
d'effrois froids
de cadavres
raideurs des membres
les yeux fixés
de dehors à jamais plus
le reste c'est tout
cela qui reste...
Ou bien ou mal
ni bien ni mal
enfin bref le RIEN
Cache ton dieu
entre tes jambes
la tête bien coincée
dans les affaires
de la vie courante
à son dernier sursaut
encor laisser
grignoter la dévoreuse
pendant que suspendu
au martyre tu tombes
dans la nuit éternelle
de la sans mémoire
ton bien chiffonné
d'oubli de ce qui a été
la fortune de prédation
...
Alors écrire pour le RIEN
errance interminable
chaise musicale
air joué par Paganini
technicalement
du séchoir à cheveux
sur manequin
de Ceronetti
et des vierges folles
de Vivaldi
des neiges des neiges
par des voies
d'aveuglement
pas vivant pour 5 cents
Où suis-je
jejeje...????
De vous à moi
JE vous à vous
des choses pour SEUL
JEU de mort certaine
jevoustu...tulevous
levousjevous en prix
sur la place
du spectraque
des one mens traques
sur un réel battement
d'aile chérie LÀ
assurément
RIEN SI SI sisisi
tenant y tenant
plus que TOUT
inutilement LÀ
...
Didérot *
sans fusion
Étoiles donc
avec le I
tenant tête au ciel
tombant cauchemar
Albrecht...
Cenci en cul
à sac et à sang
blanchiment
de boniments
alors des tueurs
sur la route
des enfants d'art
sous les sous
de madame
duchesse
de mon derrière
chez-nous
y a la fin over dead
Des sentiers
sans déroute
infinis résidus
d'univers vers
des symbioses
pas pour tous
tas entassés de petits
pets de gaz
carburant proématique
Porte d'en faire
des formes
à tatawinneux
laissés au seuil
kafkaïens
du bonoeil
Danse chérie danse
entre prend le saut
Ô heure venue
LÀ ICI MÊME
tête pas d'eux
les chiffrés
les pas de pas
Alors (Figure
Toi Mon Amour)
dessine ton coeur
à TOUT vent
tient le pieux
dans l'aile
de bourrasque
largue de + haut
encor résiste
à l'an pire
enmieute au lieu
d'enmieuter
prends le RIEN
Y a il y a
y aura
des couleurs
de lignes
bariolées
de formes
à tenter
il y a
ton coeur
limite
d'Amour
Y a ce château
d'Abandon
derrière
les os glacés
de la ruse
ensevelie
ravagée
d'elle même
juge et partie
y a eu suite
à il y a eu
Amour chérie
en IL Y A
des semailles
invisibles
là où il y a
...
de RIEN...
allons
ce quelque chose
mais quoi...
Ceci air a-blanc
des poussières
en socle d'attentes
vents au vol
attrapamour
seul en sol
si do ré
sous tes pas
pépites frileuses
de tes maîtres anciens
'L'art reste misérable
chez un peuple imbécile' *
Le va et vient
radote des choses
divaguant tu passes
le diable croyant
à genoux supplie
d'en mettre d'en remettre
de se mettre encor
la Joconde
moustache ou pas
entre l'étau
le moine pogné
la flye ouverte
prêt à perdre
sa verge au feu
du diable de Gogol
que raconte
ces vagabondages
verbales
Un nez gros orteil
un doigt le manteau
de Matisse
la palette de Woo-Ki
les lunettes
dans la vie d'ange
la poudre d'escampette
Et cri écrit écrire...
où d'où vers où
Verrous...
Comtesse princesse
duchesse...
Un doigt à l'anneau
solaire du divin
maquis tenant
l'affraire au brun
d'un tableau de Miro
de Masson massant
vulgaire la vulve
tout est visage
terre mère mater
or gisant geyser
d'à peu près l'ensemble
du comte d'Orgel
quelques sous
de son filleul
et la démence
s'enflamme brûle
madame mort
l'emporte vers
c'était TOUT
sa fin à elle
Tantôt fixé
créé ou né en
barque on y est
au vent sortant
des masses pas là
agrippées....
humant l'air
sauvage encor
du don qui vient
petite lumière
de Chardin
esprit pris épris
passé outre
aux diableries
RIEN A DIRE
De tenant
lasse vaincu
de toujours
mort en autant
de fois
que de un du UN
et lui le qui que quoi
que qui est-ce
après tout
ceci de cela
des dames
de Roberval
régnantes
dans la cuisine
a couteau
d'enfants faisandés
de fait dodo
ou encor
géométrie
résiduelle
de bois de scierie
tranquillisant
l'envie de bon dieu
Oreille écoute
le bruit des feuilles
palpitantes
de l'appel des forêts
de la noirceur
d'ensevelies
sous racines
des mers mortes
rougies des sacrifices
Il y en aura d'autres
des disparus
et des agonisants
pour combien
après le triage
des trois 3 triangles
...Ce que cela porte
d'effrois froids
de cadavres
raideurs des membres
les yeux fixés
de dehors à jamais plus
le reste c'est tout
cela qui reste...
Ou bien ou mal
ni bien ni mal
enfin bref le RIEN
Cache ton dieu
entre tes jambes
la tête bien coincée
dans les affaires
de la vie courante
à son dernier sursaut
encor laisser
grignoter la dévoreuse
pendant que suspendu
au martyre tu tombes
dans la nuit éternelle
de la sans mémoire
ton bien chiffonné
d'oubli de ce qui a été
la fortune de prédation
...
Alors écrire pour le RIEN
errance interminable
chaise musicale
air joué par Paganini
technicalement
du séchoir à cheveux
sur manequin
de Ceronetti
et des vierges folles
de Vivaldi
des neiges des neiges
par des voies
d'aveuglement
pas vivant pour 5 cents
Où suis-je
jejeje...????
De vous à moi
JE vous à vous
des choses pour SEUL
JEU de mort certaine
jevoustu...tulevous
levousjevous en prix
sur la place
du spectraque
des one mens traques
sur un réel battement
d'aile chérie LÀ
assurément
RIEN SI SI sisisi
tenant y tenant
plus que TOUT
inutilement LÀ
...
Didérot *