Marelle en Nef
d'Infante
...en tous
malgré les uns
des lui
même
par oeil
il en sait
plus et va
à sa perte
Ce sera
la fin
Brise du fleuve
réconciliation
proématique
en sa mort
par banque
Il avait rêvé
Sans obéir
l'obéissance
s'empara
de tout
Pas père fils
une entrée
sans fin
de sortie
Tenir l'éveil
qui veut dormir
et reposé sa mort
LÀ EST L'ICI
Elle a tous
les atouts
de l'enfer
brûlant
de plaisir
Art forme
de lutte
outre passant
ses larmes
à la enième sortie
d'en faire
de la Joie
Au bord du fleuve
ces vagues qui ne sont
que murmure
d'un golfe d'une mer
encor au fond
que sédiments au hasard
d'un regard éphémère
vers une extase tout aussi
...( )-
Voir est désapprendre
à voir au comment voir
ensuite aveugle
au noir de toutes les couleurs
une déconstruction
se donne s'ose
se commet à jouer
de l'admirer des enfants
dans la MORT
A chaque souffle
comment dire
l'épiphanique
reconnaissance
de jouer d'osmose
avec la vivance
du grand air des vents
des pluies sifflant des contes
écornant le troupeau
dans l'enclos
d'abattoir au quotidien
des manigances
à cinq sous la chair
tremblante de vérité
En Art cela donne
l'échappée de tableaux
Des cétacés
sur le dos
aux techniques
de pêches
de phoque
la balance
la chasse
à l'homme
blanchi
de boniments
picolos
des gros jos
pervers
narcissiques
de Picabia
'Ceux qui parle
derrière moi
mon cul
les contemple *
postillon posteur
d'imposteur
postérieur
mouillant
sa couche
qu'essuie
avec sa bouche
édentée
madame de l'immonde
de mon dentier
C'est assez
des entrailles
en chairs pétassées
d'instinct lotos
perdus dans le bouillon
des débandades
de la Nature natures
Picabia *