Détournement
du RIEN
au chaos de départ
du RIEN
au chaos de départ
Sans sous
les pieds
des scandales
à dividendes
sanglants
à pertes projetées
dans la commande
aveugle du grappin
de la ruche
de la ruche
appelant les miettes
en fin de polis
pour contrat
en fiscalités
fécales fécondant
fée con dent
les sanguines
du jeune âge
Depuis la mort
de l'éphémère
et le retour au néant
qui est immense
tout va s'accepter
pour du pain noir
typique des époques
totalitaires
Grand infiniment
petit immensément
la führer Nature natures
brasse le compost
chauffant l'éternité
des savants
de l'ignorance
biochichimicmacs
d'un avenir
seul au monde
Vendredi
en de faux Robinsons
crucifié un jour
de l'éternel détour
par la belle au bois
devant la servitude
à l'histoire
À la fin
tout commence
à la case noircie
des pipelines
d'arrérages à pets
bons dieux
Car il faut en sortir
de l'Enfer
pour y entrer
par d'autres mensonges
à trépasser de mort
à mord
Allons dessines-toi
un accroire
Un jour un jour
le Roi Dormant
fut réveillé matin
par le bruit
des gigotements
et bougeottes
du boulot mortel
de la création
Incongrue
constatation
shakespearienne
à faire perdre le temps
de tout le monde
ici comme au ciel
Collant à mouches
pour la portion
de potion proématique
au passage de ce qui
va finir par terre
sang poing pour se taire
à la tombée
des chopines à l'heure
avec Schopenhauer
ou bien ou bien
tralala là l'air rance
des bas fonds
Assez c'est bien assez!
Laissé vivre
ce qui aide à vivre
le temps d'un soupir
exténué de la fin
du conte en pommes
de route cravaché
d'effondrement
de mouches folles
piquant des vers
sur le cheval
du cocher fou
d'avoir cru
être libre et maître
du parcours
des îles Usions
d'Où Où vers Où
Légumes ou abandonné
du ciel et de la terre
du cosmos des saints
de Lolita la fille
imaginaire
monde créé
d'un jeu sérieux
Libre de quoi?
De l'erreur
par conscience
éthique de crever
de séparation
d'avec l'Amour
Lignée de sans-abri
petits dessins
où tout s'en va
en poudres
pigmentées
d'escampettes
d'ess muss ein
dès que l'impossibilité
du point de partance
se fait transformer
en chair à boucher
en compost acidifié
par le grand
estomac céleste
cette Chose formant
avec l'imagination
une paire de joyeux
lurons créant ce mot
RIEN
Mais quoi RIEN?
Délivrance
aération
compost d'air
poussière
socle début
ou fin...
c'est parti avec RIEN
se peut-il?
Des courants
après TOUT
n'importe quoi
logique pas logique
le logie ciel
la dame meure
battue par le Roi
de coeur proématique
RIEN c'est TOUT
L'image fait dire
ce RIEN-LÀ
qui n'est pas ceci
cela qui n'est RIEN
RIEN RIEN RIEN
DIX FOIS
qui n'est pas
histoire de dire
mercantile
spirituelle
bien mal tourné
esprit diabolique
saint tordue
de bottine
Trop parler sur
le moyen de parler
nuit et jour
RIEN pas de
pas de mais pas
de prefer not to
la baleine
c'est assez
blanc ou blanche
RIEN gros repos
d'absence de par delà
le bien le mal
Mais quoi de RIEN?
Le serpent l'oeil
en poison
dans la pomme OGM
du paradis
de la NATURE
que conduit
la CHOSE
à sa faim des fins
qui s'en va à l'oubli
en massacre
de corps d'os salés
éternellement
des larmes
du RIEN du tout
encor machine
à tuer à aimer
payant des impôts
pour naître
pour mourir
IL y eut le Greco
Goya il y eu
ils ont été
ils sont morts aussi
en pleine VÉRITÉ
que la peinture
seule fait VOIR
Et pour cela
il faut vraiment
peindre,,,,
Où encor du moins
ouvrir l'Oeil
sur le RIEN
de l'ICI MÊME
ou d'ailleurs
Tenir passer outre
aux bruits et fureurs
de l'histoire
d'un compte-gouttes
sanguinaires
darwiniens
tatawineux
fécondant le bleu
du ciel avec des bébelles
qui ne tiennes
pas la route...
menant à la Sainte-Victoire
du désastre en vérité
de la Vérité
résiduelle du mourir
avec la palette
et la bite à la main
dans la fosse aux lions
faussant le chant du cygne
au cratère pigmenté
de feu il avait été
les saints de l'eau LÀ
des derniers tableaux
Période de couilles
et en fin le con sert
la bouillie à prétention
scientifique
des humanités
Au final un bouton
pressoir et Boom
sur le château de sable
de l'auberge espagnole
par la Nature natures
en guerre pour un parachute
qui ne s'ouvre pas
sur la terre promise
mais bien sur une descente
dans la bouche d'un volcan
RIEN une nuit
en plein jour
chantait le vent
des camarades de l'or
des geais huîtres
en cas d'âme et risque
...N'importe quoi
pelures d'oignons
scientifiques
pour piano sans mains
de la misère infinie
composant ses crimes
et tromperies
en beautés du chant
des alouettes déplumées
du vol de leurs vidanges
dans un air incolore
en plein vide sanitaire
du désir réalisé
de l'espace
en trois mouvements
deux temps pour un aria
de choux verts
pour des prunes
vissées sur des bancs
croûtes de chantages
à la gloire répétitive
du RIEN
Alors tenir en volant
lorsque la pesanteur
du corps lévite
en mille formes
libérées des demande
causales capitales
Pas pour tous
la proématique
effleurant la brute
artistique
à la langue anglicisée
triturée tordue
imponctuée
sang virgule
sans prescription
que proscrite
à ne pas faire
l'affaire...
Comment
sang mémoire
retrouver le lieu
de la part olé
du verbe allez voir
hors le totalitarisme
bio-pouvoir
ficelant le corps
en corridas
de taureaux
dans l'arène
à Walden ou ailleurs
pour metteurs en scène
d'un lavage de synapses
entre deux
mort absolue
pleins de tyrans
sur des cibles
d'oiseaux se cachant
de ne plus voler
d'ailes même...
RIEN
...en suites
grotesques
hors le petit dessin
revue corps y j
de rebuts
répétant
péteux de broue
en croquantes
Sang faim
enfin fin
silence
sang corps
encor
eeee e E
se mordant
la queue
des forêts à blanc
chaud de soleil
pétant les fusibles
du climat
dans les têtes
bien pitonnées
du compte
monnayé
des pierres
sur une ronde
de Berio
rossignol
au point
où dansent
l'exultation
des lignées
de mouches à feu
quelque chose
de RIEN
et son SILENCE
La CHOSE RIEN
Place au vide
et des poussières
tombants
des pommes
qui sont
dans mon jardin
du début
à la fin du RIEN
fécales fécondant
fée con dent
les sanguines
du jeune âge
Depuis la mort
de l'éphémère
et le retour au néant
qui est immense
tout va s'accepter
pour du pain noir
typique des époques
totalitaires
Grand infiniment
petit immensément
la führer Nature natures
brasse le compost
chauffant l'éternité
des savants
de l'ignorance
biochichimicmacs
d'un avenir
seul au monde
Vendredi
en de faux Robinsons
crucifié un jour
de l'éternel détour
par la belle au bois
devant la servitude
à l'histoire
À la fin
tout commence
à la case noircie
des pipelines
d'arrérages à pets
bons dieux
Car il faut en sortir
de l'Enfer
pour y entrer
par d'autres mensonges
à trépasser de mort
à mord
Allons dessines-toi
un accroire
Un jour un jour
le Roi Dormant
fut réveillé matin
par le bruit
des gigotements
et bougeottes
du boulot mortel
de la création
Incongrue
constatation
shakespearienne
à faire perdre le temps
de tout le monde
ici comme au ciel
Collant à mouches
pour la portion
de potion proématique
au passage de ce qui
va finir par terre
sang poing pour se taire
à la tombée
des chopines à l'heure
avec Schopenhauer
ou bien ou bien
tralala là l'air rance
des bas fonds
Assez c'est bien assez!
Laissé vivre
ce qui aide à vivre
le temps d'un soupir
exténué de la fin
du conte en pommes
de route cravaché
d'effondrement
de mouches folles
piquant des vers
sur le cheval
du cocher fou
d'avoir cru
être libre et maître
du parcours
des îles Usions
d'Où Où vers Où
Légumes ou abandonné
du ciel et de la terre
du cosmos des saints
de Lolita la fille
imaginaire
monde créé
d'un jeu sérieux
Libre de quoi?
De l'erreur
par conscience
éthique de crever
de séparation
d'avec l'Amour
Lignée de sans-abri
petits dessins
où tout s'en va
en poudres
pigmentées
d'escampettes
d'ess muss ein
dès que l'impossibilité
du point de partance
se fait transformer
en chair à boucher
en compost acidifié
par le grand
estomac céleste
cette Chose formant
avec l'imagination
une paire de joyeux
lurons créant ce mot
RIEN
Mais quoi RIEN?
Délivrance
aération
compost d'air
poussière
socle début
ou fin...
c'est parti avec RIEN
se peut-il?
Des courants
après TOUT
n'importe quoi
logique pas logique
le logie ciel
la dame meure
battue par le Roi
de coeur proématique
RIEN c'est TOUT
L'image fait dire
ce RIEN-LÀ
qui n'est pas ceci
cela qui n'est RIEN
RIEN RIEN RIEN
DIX FOIS
qui n'est pas
histoire de dire
mercantile
spirituelle
bien mal tourné
esprit diabolique
saint tordue
de bottine
Trop parler sur
le moyen de parler
nuit et jour
RIEN pas de
pas de mais pas
de prefer not to
la baleine
c'est assez
blanc ou blanche
RIEN gros repos
d'absence de par delà
le bien le mal
Mais quoi de RIEN?
Le serpent l'oeil
en poison
dans la pomme OGM
du paradis
de la NATURE
que conduit
la CHOSE
à sa faim des fins
qui s'en va à l'oubli
en massacre
de corps d'os salés
éternellement
des larmes
du RIEN du tout
encor machine
à tuer à aimer
payant des impôts
pour naître
pour mourir
IL y eut le Greco
Goya il y eu
ils ont été
ils sont morts aussi
en pleine VÉRITÉ
que la peinture
seule fait VOIR
Et pour cela
il faut vraiment
peindre,,,,
Où encor du moins
ouvrir l'Oeil
sur le RIEN
de l'ICI MÊME
ou d'ailleurs
Tenir passer outre
aux bruits et fureurs
de l'histoire
d'un compte-gouttes
sanguinaires
darwiniens
tatawineux
fécondant le bleu
du ciel avec des bébelles
qui ne tiennes
pas la route...
menant à la Sainte-Victoire
du désastre en vérité
de la Vérité
résiduelle du mourir
avec la palette
et la bite à la main
dans la fosse aux lions
faussant le chant du cygne
au cratère pigmenté
de feu il avait été
les saints de l'eau LÀ
des derniers tableaux
Période de couilles
et en fin le con sert
la bouillie à prétention
scientifique
des humanités
Au final un bouton
pressoir et Boom
sur le château de sable
de l'auberge espagnole
par la Nature natures
en guerre pour un parachute
qui ne s'ouvre pas
sur la terre promise
mais bien sur une descente
dans la bouche d'un volcan
RIEN une nuit
en plein jour
chantait le vent
des camarades de l'or
des geais huîtres
en cas d'âme et risque
...N'importe quoi
pelures d'oignons
scientifiques
pour piano sans mains
de la misère infinie
composant ses crimes
et tromperies
en beautés du chant
des alouettes déplumées
du vol de leurs vidanges
dans un air incolore
en plein vide sanitaire
du désir réalisé
de l'espace
en trois mouvements
deux temps pour un aria
de choux verts
pour des prunes
vissées sur des bancs
croûtes de chantages
à la gloire répétitive
du RIEN
Alors tenir en volant
lorsque la pesanteur
du corps lévite
en mille formes
libérées des demande
causales capitales
Pas pour tous
la proématique
effleurant la brute
artistique
à la langue anglicisée
triturée tordue
imponctuée
sang virgule
sans prescription
que proscrite
à ne pas faire
l'affaire...
Comment
sang mémoire
retrouver le lieu
de la part olé
du verbe allez voir
hors le totalitarisme
bio-pouvoir
ficelant le corps
en corridas
de taureaux
dans l'arène
à Walden ou ailleurs
pour metteurs en scène
d'un lavage de synapses
entre deux
mort absolue
pleins de tyrans
sur des cibles
d'oiseaux se cachant
de ne plus voler
d'ailes même...
RIEN
...en suites
grotesques
hors le petit dessin
revue corps y j
de rebuts
répétant
péteux de broue
en croquantes
Sang faim
enfin fin
silence
sang corps
encor
eeee e E
se mordant
la queue
des forêts à blanc
chaud de soleil
pétant les fusibles
du climat
dans les têtes
bien pitonnées
du compte
monnayé
des pierres
sur une ronde
de Berio
rossignol
au point
où dansent
l'exultation
des lignées
de mouches à feu
quelque chose
de RIEN
et son SILENCE
La CHOSE RIEN
Place au vide
et des poussières
tombants
des pommes
qui sont
dans mon jardin
du début
à la fin du RIEN