Vent Vert
Devant l'après
de la pensée
qu'est-ce que
l'égalité
du propos
par quelques fentes
du tombe haut
par milliards
de trilliards
de craques peaux
Neiges fondantes
à bonhommes
en monde oubli
Passons l'autre bord
fini TOUT EST UN
comme si cela n'avait
pas toujours été
De l'errance
montée en épinglant
les papillons
de l'il y a
mais quoi?
Après après Béart
ferré de bras seins
breloques
après longtemps après
et plus longtemps encor
et les les nuits
à se faire dévorer
de la tête aux pieds
d'avoir été de Vinci
Napoléon Freud
ou la Poune
et LÀ la traverse
avec tout ce beau monde
en UN des uns
sous les hospices
du RIRE de RIEN
du TOUT
Subitement
tous en UN
sans faim ni soif
cela vient
arrive se porte
à sa fin
Extermination
par Nature natures
en son cataclysme
sidéral...
dévorés dire
tu vas l'oeil
bouffé de vent
fermé blanc
du ciel dur
fermant l'enfer
passe filet
fronde affront
va vol survol
ailes l'L
l'art s'envole
tombant
tu t'élèves
va haut bas
au bois
défait de coups
à l'oeuf
à neuf
Voie Ô
voile à joie
des misérérés
t'es LÀ ivre
frissonnant
Enfin pour ne dire
dire redire que cela
que comment dire
et dit-on vraiment
du néant et mieux
Peut-on dire le dire
sans dire...
Du moins sans mots
car cent n'y change
pas l'état des faits
disquette à quéquettes
à enfourcher
le diable par la queue
au jour des jours
comptables à frit fric
où tous les oiseaux
tombent étourdis
du fruit gelé
Infimes parcelles
de vertiges
en Oui tenir
après TOUT
Après l'Effroi du Camp
des camps dira t'on
la Vraie Vie...
Après ceux
qui se tirent sur la pointe
pépère de tous
ceux qui crèvent avec eux
Dopés de tous
sur le dos des moelles
du pareil au même
UN des uns
pavés de lumière
d'huile de baleine
esprit diffus
dans la pagaille
rideau clignant de l'oeil
rythmant chairs et os
crachés mordus
d'enfermement
d'où ou vers où
verrous sang maux
ou sans ne pas dire
...Anthropophagie
unis vers...
Extermination
par Nature natures
en son cataclysme
sidéral...
Pas dire
en maux ronds
rond patapon
Oiseaux de nuit
rond patapon
Oiseaux de nuit
vont de coeur
et peuvent-ils
encor voir
fermant tes yeuxdévorés dire
tu vas l'oeil
bouffé de vent
fermé blanc
du ciel dur
fermant l'enfer
passe filet
fronde affront
va vol survol
ailes l'L
l'art s'envole
tombant
tu t'élèves
va haut bas
au bois
défait de coups
à l'oeuf
à neuf
Voie Ô
voile à joie
des misérérés
t'es LÀ ivre
frissonnant
Enfin pour ne dire
dire redire que cela
que comment dire
et dit-on vraiment
du néant et mieux
Peut-on dire le dire
sans dire...
Du moins sans mots
car cent n'y change
pas l'état des faits
disquette à quéquettes
à enfourcher
le diable par la queue
au jour des jours
comptables à frit fric
où tous les oiseaux
tombent étourdis
du fruit gelé
Infimes parcelles
de vertiges
en Oui tenir
après TOUT
Après l'Effroi du Camp
des camps dira t'on
la Vraie Vie...
Après ceux
qui se tirent sur la pointe
pépère de tous
ceux qui crèvent avec eux
Dopés de tous
sur le dos des moelles
du pareil au même
UN des uns
pavés de lumière
d'huile de baleine
esprit diffus
dans la pagaille
rideau clignant de l'oeil
rythmant chairs et os
crachés mordus
d'enfermement
d'où ou vers où
verrous sang maux
ou sans ne pas dire
...Anthropophagie
unis vers...