"L'Acte Est Vierge
Même Répété"*
Tout de traverses
descendant
des chats citant
Dieu de les reconnaître
pareils un à la foi
et le reste des queues
leu-leu à père pet
La Camp levant
le pied pour applaudir
perdit mainmise
dans l'air enviant
le chant de blé de Vincent
mit le boeuf dans l'étable
Combien de queues
et de pattes?
et de pattes?
En bref ce sera l'Oubli
Kafka brûlé ou pas
Qui dit fait dire
et bouffe le désir
de tendre au ciel
de mains tenant l'aurore
ressuscitant la distance
la nuance captant
la joie du RÉEL
élixir tranquille
hors du comme UN
vivant vivant vivant
répété autant
de foies qu'OM où Fume
fait de la boucane
des ronronnades
En Fin...
Mots dits maux
toujours les mêmes
paroles paroles
incapables bouche bée
devant la vérité
du mensonge de la vérité
à la dire cet effroi
fatal final animal
funeste passade
coup de tête à queue
de sens interdit
et des saints de Lola
"Le jeu est un système
sans contradiction,
sans négativité interne.
C'est pourquoi
on ne peut en rire"**
Insondable vice
de procédure
marais chez la femme
d'à côté est en sainte
du saint-esprit
en langues de feux
à la fin brûlé
au livre de la dernière
page de l'éternité
retrouvé au noir
attendant la captation
de quelque chose
Dire fait dire et redire
et faire sur fer
le frein grince
lâche le monde
sous les semelles
de vent Rimbaldiens
reliant le désert
armé jusqu'à l'os
du cadavre oxydé
de mort morte
L'air de mots mit
triangles pyramidaux
(C'est effrayant la vie)
Cézanne and co et l'Art
de passer outre
à la pesanteur
du Camp des rôles
alloués à la cotation
fumeuse des douches
au gaz carbonique
de la dernière
mise à table cannibale
carnaval mardi gras
de morts de rire
Miroir histoire
à raconter de dire
la terre terrorisée
comme une orange
sous les doigts
insignifiants du crime
commis de Nature natures
(ne tirez pas camarades du poète)
ou la fin du politique
à la disparition
La langue languie
donne au chat la beauté
qui lui revient
à répétition et perpet
tue et souris
de le LUI le UN
totalitaire précis
fixé dans l'assiette
au beurre noir
des sauve-qui-peut
rats trapés
roulés dans la somme
mure du tant à fuir
et à côté de l'étirement
d'un petit dessin
en guise de salutation
à la lumière
répétant l'au début
de l'aube pieds nus
graisseux cheveux
sur la luette bouchée
larvaire...
Et du Paradis
les pommes chantant
Cézanne de Bourvil
Babel Apple
la mère nique
New York la 15ième
les derniers spermes
du monde seront
jaunes de chromes
Van Gogh
la faim de mains
de maître à la courte
paille chapeau
de chandelles
titubant de soleil
éclairant le Dieu
informe à la glotte
des maux cassant
le sommeil
des rayures du zèbre
blanchies de noires
Borduas mort à Paris
pour les mêmes raisons
détaché des Holsteins
des champs Mondrian
pur net fret sec
tenant hors la horde
intoxiquée de poudres
d'escampettes ossuaires
de dispatchers d'avoines
plombées sans veilleurs
de nuit pas d'étoiles
claques os et froides
horreurs au nid de Vincent
...Allons la beauté
sauvera le monde
dit le prisonnier du Goulag
aujourd'hui le Camp
ou l'abysseness
des uns du UN le même
en mots trappes et attrapes
Et bien tranquille
quadrillé cadré encadrer
tête molle et cul l'air
d'OÙ OÙ vers OÙ???
Main tenant le vide
effroyable
tout autour du nid
s'envole petits dessins
cerfs-volants survolant
le merveilleux l'indicible
décidément
TOUT LÀ ICI MÊME
après TOUT
À redire l'infime joie
en l'horreur
de ce qui sera
pour d'autres mercis
à la bontée lumineuse
Char*
Baudrillard**
et bouffe le désir
de tendre au ciel
de mains tenant l'aurore
ressuscitant la distance
la nuance captant
la joie du RÉEL
élixir tranquille
hors du comme UN
vivant vivant vivant
répété autant
de foies qu'OM où Fume
fait de la boucane
des ronronnades
En Fin...
Mots dits maux
toujours les mêmes
paroles paroles
incapables bouche bée
devant la vérité
du mensonge de la vérité
à la dire cet effroi
fatal final animal
funeste passade
coup de tête à queue
de sens interdit
et des saints de Lola
"Le jeu est un système
sans contradiction,
sans négativité interne.
C'est pourquoi
on ne peut en rire"**
Insondable vice
de procédure
marais chez la femme
d'à côté est en sainte
du saint-esprit
en langues de feux
à la fin brûlé
au livre de la dernière
page de l'éternité
retrouvé au noir
attendant la captation
de quelque chose
Dire fait dire et redire
et faire sur fer
le frein grince
lâche le monde
sous les semelles
de vent Rimbaldiens
reliant le désert
armé jusqu'à l'os
du cadavre oxydé
de mort morte
L'air de mots mit
triangles pyramidaux
(C'est effrayant la vie)
Cézanne and co et l'Art
de passer outre
à la pesanteur
du Camp des rôles
alloués à la cotation
fumeuse des douches
au gaz carbonique
de la dernière
mise à table cannibale
carnaval mardi gras
de morts de rire
Miroir histoire
à raconter de dire
la terre terrorisée
comme une orange
sous les doigts
insignifiants du crime
commis de Nature natures
(ne tirez pas camarades du poète)
ou la fin du politique
à la disparition
La langue languie
donne au chat la beauté
qui lui revient
à répétition et perpet
tue et souris
de le LUI le UN
totalitaire précis
fixé dans l'assiette
au beurre noir
des sauve-qui-peut
rats trapés
roulés dans la somme
mure du tant à fuir
et à côté de l'étirement
d'un petit dessin
en guise de salutation
à la lumière
répétant l'au début
de l'aube pieds nus
graisseux cheveux
sur la luette bouchée
larvaire...
Et du Paradis
les pommes chantant
Cézanne de Bourvil
Babel Apple
la mère nique
New York la 15ième
les derniers spermes
du monde seront
jaunes de chromes
Van Gogh
la faim de mains
de maître à la courte
paille chapeau
de chandelles
titubant de soleil
éclairant le Dieu
informe à la glotte
des maux cassant
le sommeil
des rayures du zèbre
blanchies de noires
Borduas mort à Paris
pour les mêmes raisons
détaché des Holsteins
des champs Mondrian
pur net fret sec
tenant hors la horde
intoxiquée de poudres
d'escampettes ossuaires
de dispatchers d'avoines
plombées sans veilleurs
de nuit pas d'étoiles
claques os et froides
horreurs au nid de Vincent
...Allons la beauté
sauvera le monde
dit le prisonnier du Goulag
aujourd'hui le Camp
ou l'abysseness
des uns du UN le même
en mots trappes et attrapes
Et bien tranquille
quadrillé cadré encadrer
tête molle et cul l'air
d'OÙ OÙ vers OÙ???
Main tenant le vide
effroyable
tout autour du nid
s'envole petits dessins
cerfs-volants survolant
le merveilleux l'indicible
décidément
TOUT LÀ ICI MÊME
après TOUT
À redire l'infime joie
en l'horreur
de ce qui sera
pour d'autres mercis
à la bontée lumineuse
Char*
Baudrillard**