Carré Blanc De Silence
sur Nature
Cela qui s'élève
des attaches
à liens d'héritages
vapeurs rosées
des mises en corps
pour la machine
à matières premières
aux abats coincés
de rougeur
râlement d'orgueil
incalculables
tubes digestifs
épinglés en liasses
par maître bunker
au royaume
haineux de la peau
comme de la poésie
aux scories
de la débâcle
du vivre ensemble
pour des peanuts
en attente...
dans ce grand fourre-tout
d'insignifiances
du Big Boom...
Alors quoi ?
Et où voulez-vous en venir ?
D'abord qui parle ?
À qui parlez-vous?
À qui voulez-vous parler ?
Qu'est-ce que vous chercher ?
Pourquoi toutes ces litanies ?
Redondant PORTRAIT
de quelque chose
de flasques informes
visqueux d'ennuyeux
mais d'une beauté
lumineuse inaccessible
Quelle est l'origine
de ces questions ?
Qui questionne ?
À qui voulez-vous parler ?
Et quel est ce portrait
tracer en folles perceptions
subjectif relatif
et si mal articulé
Mais de quoi parlons-nous ici ?
D'une certaine maladie mentale ?
Un vice de fonctionnement
à l'intérieur de la grotte ?
À quoi bon insister
un imbécile
est un imbécile
De quelle ignorance
insinuez-vous ?
La vôtre monsieur !
Évident...
Incompréhensible
quelque chose
Plus de lumière
dit Goethe
pour percer la mort
traverser l'imbroglio
des rumeurs
des cris
des misères
des fuites artificielles
des facéties du bon Dieu
des saints cachés de Lola
et recommencent les festivités
aux noces de Cana
Un présent
des bonbons
parce que les fleurs
c'est périssable
et les bonbons...
de Jacques tellement bons
encor petits bouts
de papier...
Qu'importe tenir
pour Voir encor
Désapprendre
reprendre le pensé
(Prélude et fugue op 87
Shostakovich)
rebâtir en tombant
par en avant
encrer au feu en rond
du coeur où il pleut
plein de larmes
Refaire des ruines
aux mémoires nouvelles
en de célestes
dons de vivances
pas pour LUI le UN
en eux mais les SEUL
rêvant d'EUX
Sans choix
les battements
rythmes cassants
allant vers le pire (poésie)
tout ce qui est
pour reprendre
au début...
Mais quoi
l'éternité ?
Poussière avec la mort
en voie de signes
par bris bruits et bougeottes
d'opinions en contradictions
en fin de non-recevoir
et bouteille à la mère
au père au fils
au saint est prise
Il y avait
c'était en février
au premier jour
il était une fois
le mot la mémoire
l'histoire début et fin
éternel sacré
par cela du maux
des hurlements
maisons d'éditions
de moyens du bord
d'inutiles beautés
consciences
utopies tronquées
délavées attendues
défaites...
Marchandises
en trop parquées
en soldes
disparues des chiffres
du calcul écomomique
en poudre composts
des toitures de la gloire
des peintres sculpteurs
gonflant des concombres
poires navets
au service des disparus
écomomiqués
Enfin bref...
Tenir au fil d'arrivée
épuisé rompu
comateux grabataire
seul vainqueur
d'UN immonde
seul cherchant Dieu
en mille dieux
de mildious car
(Nur noch ein Gott kann uns)
dit oeil de guerre
Boom voyons l'épuisé
du monde Nature natures
portant l'avenir
au vert des prés de gris
verre de vin de ciguë
vers...des lendemains
c'est pas la veille...
Allons tenons à la paroi
au vertige à l'évanouie
à l'espace-temps alloué
aux trous noirs
au mental désencombré
(envoûtements
sociaux politiques
philosophiques littéraires
mammaires...papère)
Vestiges...stellaires
d'imbécillités de cela
qui s'écrit...SEUL
en UN LUI LE MÊME
ÉTERNEL
pas bougé marbré
de noir...FIXÉ
pantin de son UN
LÀ bien UNS
Tel au début qu'à la fin
en s'inventant des libertés
sur mesure de polichinelle
préparant la venue
du UN bouclant l'histoire
par le rire jaune
du pétard mouillé
Habitus
petits dessins mouillés
timbrés de couleurs noircies
de la carte du ciel
(formes de prières)
un souffle de vivance
point d'appui à la corniche
un crampon piton corde
se pendre
ou s'élancer dans les airs
de RIEN jouer dans le noui
de lumière...
selon un ordonnance
de coïncidence absolue
s'élevant par courant chaud
du pogrom d'en dessous
des montées de couleurs formes
rythmant l'innocence du ciel
funambulent somnambule
en bulles d'existences
art faisant la conscience
de Voir deux trois
mille milliards trilliards...
Monde
en mots maux bien mal dit
beau laid bien mal...
Un ouvre oeil en plein visage
un né d'or heure
mouvant le conte pas appâts
une ronde de nuit
en plein jour...
comme de la poésie
aux scories
de la débâcle
du vivre ensemble
pour des peanuts
en attente...
dans ce grand fourre-tout
d'insignifiances
du Big Boom...
Alors quoi ?
Et où voulez-vous en venir ?
D'abord qui parle ?
À qui parlez-vous?
À qui voulez-vous parler ?
Qu'est-ce que vous chercher ?
Pourquoi toutes ces litanies ?
Redondant PORTRAIT
de quelque chose
de flasques informes
visqueux d'ennuyeux
mais d'une beauté
lumineuse inaccessible
Quelle est l'origine
de ces questions ?
Qui questionne ?
À qui voulez-vous parler ?
Et quel est ce portrait
tracer en folles perceptions
subjectif relatif
et si mal articulé
Mais de quoi parlons-nous ici ?
D'une certaine maladie mentale ?
Un vice de fonctionnement
à l'intérieur de la grotte ?
À quoi bon insister
un imbécile
est un imbécile
De quelle ignorance
insinuez-vous ?
La vôtre monsieur !
Évident...
Incompréhensible
quelque chose
Plus de lumière
dit Goethe
pour percer la mort
traverser l'imbroglio
des rumeurs
des cris
des misères
des fuites artificielles
des facéties du bon Dieu
des saints cachés de Lola
et recommencent les festivités
aux noces de Cana
Un présent
des bonbons
parce que les fleurs
c'est périssable
et les bonbons...
de Jacques tellement bons
encor petits bouts
de papier...
Qu'importe tenir
pour Voir encor
Désapprendre
reprendre le pensé
(Prélude et fugue op 87
Shostakovich)
rebâtir en tombant
par en avant
encrer au feu en rond
du coeur où il pleut
plein de larmes
Refaire des ruines
aux mémoires nouvelles
en de célestes
dons de vivances
pas pour LUI le UN
en eux mais les SEUL
rêvant d'EUX
Sans choix
les battements
rythmes cassants
allant vers le pire (poésie)
tout ce qui est
pour reprendre
au début...
Mais quoi
l'éternité ?
Poussière avec la mort
en voie de signes
par bris bruits et bougeottes
d'opinions en contradictions
en fin de non-recevoir
et bouteille à la mère
au père au fils
au saint est prise
Il y avait
c'était en février
au premier jour
il était une fois
le mot la mémoire
l'histoire début et fin
éternel sacré
par cela du maux
des hurlements
maisons d'éditions
de moyens du bord
d'inutiles beautés
consciences
utopies tronquées
délavées attendues
défaites...
Marchandises
en trop parquées
en soldes
disparues des chiffres
du calcul écomomique
en poudre composts
des toitures de la gloire
des peintres sculpteurs
gonflant des concombres
poires navets
au service des disparus
écomomiqués
Enfin bref...
Tenir au fil d'arrivée
épuisé rompu
comateux grabataire
seul vainqueur
d'UN immonde
seul cherchant Dieu
en mille dieux
de mildious car
(Nur noch ein Gott kann uns)
dit oeil de guerre
Boom voyons l'épuisé
du monde Nature natures
portant l'avenir
au vert des prés de gris
verre de vin de ciguë
vers...des lendemains
c'est pas la veille...
Allons tenons à la paroi
au vertige à l'évanouie
à l'espace-temps alloué
aux trous noirs
au mental désencombré
(envoûtements
sociaux politiques
philosophiques littéraires
mammaires...papère)
Vestiges...stellaires
d'imbécillités de cela
qui s'écrit...SEUL
en UN LUI LE MÊME
ÉTERNEL
pas bougé marbré
de noir...FIXÉ
pantin de son UN
LÀ bien UNS
Tel au début qu'à la fin
en s'inventant des libertés
sur mesure de polichinelle
préparant la venue
du UN bouclant l'histoire
par le rire jaune
du pétard mouillé
Habitus
petits dessins mouillés
timbrés de couleurs noircies
de la carte du ciel
(formes de prières)
un souffle de vivance
point d'appui à la corniche
un crampon piton corde
se pendre
ou s'élancer dans les airs
de RIEN jouer dans le noui
de lumière...
selon un ordonnance
de coïncidence absolue
s'élevant par courant chaud
du pogrom d'en dessous
des montées de couleurs formes
rythmant l'innocence du ciel
funambulent somnambule
en bulles d'existences
art faisant la conscience
de Voir deux trois
mille milliards trilliards...
Monde
en mots maux bien mal dit
beau laid bien mal...
Un ouvre oeil en plein visage
un né d'or heure
mouvant le conte pas appâts
une ronde de nuit
en plein jour...